PCF : Fil rouge
PCF : le logo tombé du ciel pour finir de boucler le congrès « extraordinaire ». Il faut reporter l’adoption d’un nouveau logo et ouvrir une large discussion. Pétition.
Emmanuel Dang Tran, Dominique Negri, Corinne Bécourt, pour « vivelepcf.fr » 24 novembre 2018 – PETITION EN BAS DE PAGE
Sur la forme et sur le fond, la présentation du nouveau logo du Parti est le symbole d’un congrès « extraordinaire » de verrouillage politique.
Comme sorti d’un paquet cadeau, les congressistes, tous les communistes et le pays ont découvert, en même temps, le vendredi 23 novembre à 18h00, le nouvel identifiant du PCF pour les années à venir. Les camarades n’ont pas été invités à en discuter, à aucune étape du congrès. Ils n’ont pas eu accès aux ébauches.
Le problème ne réside évidemment pas dans la question d’esthétique. Nous passons aussi sur le prix, sans doute astronomique, payé à telle ou telle agence de com pour dessiner une étoile à 5 branches (au moment où la direction du Parti licencie).
Non, la question principale qu’aurait pu et dû porter le choix du logo, s’il avait été soumis aux communistes, c’est celui des références identitaires, de la raison d’être de l’organisation PCF. Cette discussion avait toute sa place dans le congrès réellement « extraordinaire » que nécessitait le niveau n’effacement du Parti, tombé à un nouveau palier, tel que le désastre électoral de 2017 l’a montré.
La direction du Parti avait promis un congrès où l’on reviendrait sur des questions théoriques de fond. Rien, ou presque de cela, mais un bouclage du texte final, hors des congrès locaux. La question du logo, qui n’a jamais été mise à l’ordre du jour du congrès par le CN, est l’étoile sur le gâteau.
Au 36ème congrès, nous avions très fortement dénoncé l’abandon – subreptice – de la faucille et du marteau, et forcé un début de débat : les outils abandonnés, c’est ceux du parti des travailleurs, de la lutte des classes, de notre histoire, également de celle du mouvement communiste international. La discussion s’imposait et s’impose toujours. (Voir nos interventions d’alors).
A ce 38ème congrès, le nouveau logo se veut porteur de « l’Humain, de l’engagement, de l’écologie, de la France ouverte, du progrès » représentés par une étoile et une feuille ou un bourgeon stylisés : Des valeurs si vagues que n’importe quel parti, ou presque, pourraient les reprendre ; une étoile qui renvoie, en réalité, à celles du drapeau de l’UE et à celle du Parti de la gauche européenne ! Ne reste plus que le nom du Parti dont, malgré plusieurs tentatives, les directions successives n’ont pas réussi à faire passer la disparition: mais gageons que, dans l’utilisation du prochain logo, il soit réduit à trois petites lettres, écrasées par la formule « L’Humain d’abord ».
Nous sommes, pour notre part, plus que jamais pour le rétablissement de la faucille et du marteau.
Mais dans l’immédiat, nous considérons qu’il est inacceptable de passer des décisions aussi importantes de manière aussi expéditive. Nous appelons le Congrès, d’ici demain, à invalider ce coup de force et les camarades de tout le pays à intervenir dans ce sens. Signez la pétition :
« Adhérents du PCF, nous demandons du congrès un moratoire sur l’adoption du futur logo du Parti et l’ouverture d’une large discussion, sur plusieurs mois, sollicitant l’analyse et la créativité de tous les communistes ».
Je signe
« Adhérents du PCF, nous demandons du congrès un moratoire sur l’adoption du futur logo du Parti et l’ouverture d’une large discussion, sur plusieurs mois, sollicitant l’analyse et la créativité de tous les communistes ».
408 Thibault Rozier hyères août 29, 2022 407 Andres Bryant Abbeville avr 09, 2020 406 Ludovic LECOMTE Vitry-sur-Seine oct 13, 2019 405 jean-louis jallon lusse mar 07, 2019 404 rené vandenkoornhuyse longuenesse fév 23, 2019 403 margarita JOSSE Angoulême fév 11, 2019 402 Henri Bartholoméus Stembert Belgique fév 07, 2019 401 Odette nicolas la seyne sur mer fév 02, 2019 400 Yahia BOUCHOUICHA CHIBANI COLOMBES jan 25, 2019 399 MICHEL LAPLACE LUNAS jan 22, 2019 398 Marie Gillet Paris jan 19, 2019 397 CLAUDE DEFFONTAINE banyuls sur mer jan 19, 2019 396 pascaline fournival MONT D ORIGNY02390 jan 19, 2019 395 Jean-Luc Locqueneux Saint Quentin jan 19, 2019 394 Julien Plé Saint quentin jan 18, 2019 393 Francois Thome Rosselange jan 08, 2019 392 Lionel Guillerey Lure jan 07, 2019 391 Morgane Serrieres Villevocance jan 07, 2019 390 Nicola Tambuzzo Rive-de-Gier jan 07, 2019 389 Marie-Josée GINESTET Champigny-Sur-Marne jan 05, 2019 388 Sabrina Delsalle Hergnies jan 05, 2019 387 jacques Frediani Bagard jan 04, 2019 386 Guillaume Dumoulin Feyzin jan 04, 2019 385 richard duclos paris jan 04, 2019 384 BERTRAND ZOLLA SAUMUR jan 04, 2019 383 Jhonny Denimal Saint Quentin jan 03, 2019 382 Deguise Loic Trans en provence jan 03, 2019 381 jérome michel hergnies jan 03, 2019 380 Christian Carrot Bogny sur Meuse jan 03, 2019 379 Florian Carette Vitrolles jan 03, 2019 378 Alain Perrin Aureilhan 40 jan 03, 2019 377 Lucien DESCHAMPS Vitry sur Seine jan 02, 2019 376 Claudette Rolland Saint viance déc 31, 2018 375 pierrejean serrieres villevocance déc 31, 2018 374 Jean marc Mourmans Venanson 06 déc 31, 2018 373 Denis Dumontier Paris 18 déc 30, 2018 372 Jeannot Lerch Hagondange déc 30, 2018 371 Jean Michel DENIS Beaufort (59) déc 30, 2018 370 Mohamed Naceur Chambéry déc 29, 2018 369 Nadine Legay Aniche déc 27, 2018 368 Anthony Freuze Aniche déc 27, 2018 367 Pascal Freuze Aniche déc 27, 2018 366 Emmanuel Freuze Aniche déc 27, 2018 365 Marc JAMMET Mantes-la-Jolie déc 20, 2018 364 Bernard POLLET Bruille-lez-Marchiennes 59490 déc 17, 2018 363 Jacqueline Dang tran Rennes déc 14, 2018 362 tonina uras Toulouse déc 14, 2018 361 Henri-Luc SELEFEN Bruille-lez-Marchiennes 59490 déc 14, 2018 360 Christophe SANNIER Bruille-lez-Marchiennes 59490 déc 14, 2018 359 legay legay aniche déc 12, 2018 358 Jean-Marie BRAY Bruille lez marchiennes déc 12, 2018 357 Jacky BRAY Bruille déc 12, 2018 356 Patrick POULAIN ANICHE 59580 déc 12, 2018 355 Anne-Marie BOLEUX AUBERCHICOURT 59165 déc 11, 2018 354 FRANCOIS BOLEUX AUBERCHICOURT 59165 déc 11, 2018 353 Marie Mroczkowski déc 11, 2018 352 Jean Claude Mroczkowski déc 11, 2018 351 Lucie Mroczkowski déc 11, 2018 350 Peggy Marechal Douai déc 11, 2018 349 Eric Walraeve Aniche déc 11, 2018 348 Serge TOMMASI Bruille déc 11, 2018 347 Françoise VEREZ Bruille-lez-Marchiennes déc 11, 2018 346 Sylvie Wieczorek Bruille déc 11, 2018 345 Jacqueline Wieczorek Bruille déc 11, 2018 344 Evelyne TOMMASI déc 11, 2018 343 Georges Wieczorek Bruille déc 11, 2018 342 PASCAL JONIAUX BRUILLE LEZ MARCHIENNES déc 11, 2018 341 Laurient Lounis Aniche déc 10, 2018 340 Florian Brassens Aniche déc 10, 2018 339 Kevin Domagala Auberchicourt déc 10, 2018 338 Laury Domagala Auberchicourt déc 10, 2018 337 Christophe Domagala Auberchicourt déc 10, 2018 336 JACKY NOTOT MARCHIENNES déc 10, 2018 335 Laurence BRAY Bruiile-lez-Marchiennes déc 10, 2018 334 VERONQIUE BOLEUX AUBERCHICOURT déc 10, 2018 333 Sophie Wieczorek Bruille déc 10, 2018 332 Yves Echard Paris 19 déc 10, 2018 331 Serge Paboeuf Saint Jacques de la Lande déc 10, 2018 330 Corinne Candelier Bruille 59490 déc 09, 2018 329 Jean-Jacques Candelier Bruille 59490 déc 09, 2018 328 Alain Meril saint-etienne déc 06, 2018 327 Cyril Moreno Perigueux déc 04, 2018 326 dominique calassou Paris déc 04, 2018 325 Pierre Viallet PIGNAN déc 03, 2018 324 philippe tillard sénouillac déc 03, 2018 323 Michel Gourmel Rai 61270 déc 03, 2018 322 Maroussia Forgues Le Plessis Robinson déc 03, 2018 321 Luigi-Alberto Sanchi Paris 11 déc 03, 2018 320 Patrice Muzard Gray 70100 déc 03, 2018 319 thierry haupas Paris 15 déc 03, 2018 318 Guillon François Paris déc 03, 2018 317 Martine LOSCOS St Rambert d'Albon déc 03, 2018 316 Siméon Thomas Treverec déc 03, 2018 315 patrice garay paris déc 02, 2018 314 Frédéric Giraud Marigny déc 02, 2018 313 Alain LE GONIDEC PEYRIGNAC déc 02, 2018 312 Stuck François Paris déc 02, 2018 311 geraldine guillois malakoff déc 02, 2018 310 Carine Robin Wissignicourt déc 02, 2018 309 Gilbert TOMADA ANTRAIGUES SUR VOLANE déc 02, 2018 308 nasser DIFFALAH Couthenans déc 02, 2018 307 Patrice CHEILLAN marseille déc 02, 2018 306 Jean claude Mazzolini Fontenay 92260 déc 01, 2018 305 jean jacques darcillon montmagny déc 01, 2018 304 Christian Darriet Arès déc 01, 2018 303 Jean-Jacques Baltel La Queue En Brie déc 01, 2018 302 Rogger Mercado Ibanez Rouen déc 01, 2018 301 joel castex MEZENS déc 01, 2018 300 Mireille Mercuriali Narbonne plage déc 01, 2018 299 Jean Claude DELVAL déc 01, 2018 298 Claude Mercuriali Narbonne plage déc 01, 2018 297 marco avenel paris déc 01, 2018 296 fabrice lucas FOUCHEROLLES déc 01, 2018 295 LOUIS LLORENTE MANTES LA VILLE déc 01, 2018 294 MARIE LLORENTE MANTES LA VILLE déc 01, 2018 293 Danièle VIALLET Pignan Hérault déc 01, 2018 292 Muguette Paquis Ronchamp 70250 déc 01, 2018 291 Marie-Anne BONCOUR MARIGNY (79360) déc 01, 2018 290 liliane rossignol rossignol paris déc 01, 2018 289 Bernard SARTON Aubagne déc 01, 2018 288 Gérard Jamelot Les Ulis déc 01, 2018 287 ANGE MERCADO GRASSE déc 01, 2018 286 Cemil KAYGISIZ PARIS déc 01, 2018 285 Alain Masson Les Ulis déc 01, 2018 284 Marie VILLETTE Vesoul déc 01, 2018 283 jamel KOURI Romans sur Isère déc 01, 2018 282 Romain Telliez AUlnay-sous-Bois déc 01, 2018 281 Jean-Pierre Réau Arcueil déc 01, 2018 280 Sandrine Bernadat Saint Martin en bresse déc 01, 2018 279 Cécile Maneyrol Grasse déc 01, 2018 278 Sebastien Halley Parid déc 01, 2018 277 Michel Mistri Tencin nov 30, 2018 276 yves Rallieres Puycelsi nov 30, 2018 275 Noel Collet Annecy nov 30, 2018 274 Stephane Quesnel Dieppe nov 30, 2018 273 fabien hillou choisy le roi nov 29, 2018 272 François Thiery Jarny nov 29, 2018 271 yannick louesdon lanester nov 28, 2018 270 alain van gindertael niort nov 28, 2018 269 Claude Delplanque Lanouaille 24 nov 28, 2018 268 philippe maslonka limeil brevannes nov 28, 2018 267 Yvan Gremetz Vron nov 28, 2018 266 Thomas Massard Paris nov 28, 2018 265 Jean Dominique WYDRZYNSKI LE VERSOUD nov 28, 2018 264 Hamid REZAÏ St Martin d'Hères (38) nov 27, 2018 263 Andrés Bryant Abbeville nov 27, 2018 262 jean claude pierrot 87700styrieix ss aixe nov 27, 2018 261 Yvan Jobard Miramas nov 27, 2018 260 Didier Flageul Plérin nov 27, 2018 259 stéphane travert/dos santos choisy le roi nov 27, 2018 258 patricia indrigo choisy le roi nov 27, 2018 257 Jean-Michel Gallo Marseille nov 27, 2018 256 Guy LALANDE Coulaures nov 27, 2018 255 Christine Sampéré La Seyne-sur-mer nov 26, 2018 254 Benjamin Bourven Choisy-le-Roi nov 26, 2018 253 Claire TOMADA ANTRAIGUES SUR VOLANE nov 26, 2018 252 Elisabeth Valot Roubaix nov 26, 2018 251 Jean paul Soye Tugny et pont nov 26, 2018 250 Sylvie Simonin Ris-Orangis nov 26, 2018 249 isabelle RASET Vaulx en Velin nov 26, 2018 248 franck CLET St Martien d'Hères nov 26, 2018 247 camille marques paris 15 nov 26, 2018 246 Sonia Biau SAINT MARTIN D HERES nov 26, 2018 245 Aurore Mathé ARCUEIL nov 26, 2018 244 mado bonamy berre l'étang nov 26, 2018 243 Matthieu Cauvin Orchies 59 nov 26, 2018 242 desmoulin laurent paris nov 26, 2018 241 Yves DENUX Saint Martin d'Hères nov 26, 2018 240 Marie-Clemence Baccarelli Marseille nov 26, 2018 239 Béatrice Gagliano Le Brugeron nov 26, 2018 238 Félix Bouchon Tarnos nov 26, 2018 237 jean-paul peyre charenton nov 26, 2018 236 Julien Casier Saint quentin nov 26, 2018 235 roland germain Plancher-Bas nov 26, 2018 234 ARIELLE PROVY LE GONIDEC Peyrignac nov 26, 2018 233 Bastien LAURENT paris nov 26, 2018 232 Frédérique Bonnel Versailles nov 25, 2018 231 jean delaunay le rouret nov 25, 2018 230 jean claude PERROT Briec nov 25, 2018 229 Angelo Prizzi Saint Martin d’heres nov 25, 2018 228 bernard Gilleron Section de Roubaix nov 25, 2018 227 Thomas DE MUNTER Marseille nov 25, 2018 226 MARTINA CHAVEZ MERY SUR MARNE nov 25, 2018 225 Richard Thierry Paris nov 25, 2018 224 Patrick Marguerettaz Saint Julien en Genevois nov 25, 2018 223 Albert Sauvage Coulaures nov 25, 2018 222 Rémi Bunel Grosley sur risle nov 25, 2018 221 michele bourven morlaix nov 25, 2018 220 David DROGOUL-SPANU Nice nov 25, 2018 219 Charles Brogniart Moyencourt nov 25, 2018 218 joseph falco sassenage nov 25, 2018 217 joelle letort frejairolles nov 25, 2018 216 Guy SOUTEIRAT Roussillon nov 25, 2018 215 sylviane gressler saint-quentin nov 25, 2018 214 Claude CHAMEK Paris 13 nov 25, 2018 213 Lydie proust Ahgers nov 25, 2018 212 Roger MICHEL Saint Fons nov 25, 2018 211 Alice Gorlier Saint-Quentin nov 25, 2018 210 Adda Boulekfouf Villejuif nov 25, 2018 209 Patricia Nicolas Hendaye nov 25, 2018 208 Guy PRIMEL GOUZON nov 25, 2018 207 REMI BARRA VIF nov 25, 2018 206 Ugo Romain--Merklen Arles nov 25, 2018 205 christine cormont laon nov 25, 2018 204 Gérard Morlier Cerny 91590 nov 25, 2018 203 Christian Graux CRETEIL nov 25, 2018 202 Horria SAÏHI Saint-Denis nov 25, 2018 201 aline Cauvin Mantes la Jolie nov 25, 2018 200 Olivier DAVOISE LOGNES nov 25, 2018 199 Claudine Laurent nov 25, 2018 198 Angeline Ricciardi Sassenage nov 25, 2018 197 Eugene Christo-Foroux Marseille nov 25, 2018 196 Michèle Médicis Buxerolles nov 25, 2018 195 Léopold DEUFF Martigues nov 25, 2018 194 MILAN SEN Paris nov 25, 2018 193 sylvain humbert lantosque nov 25, 2018 192 bidart michel Goeulzin nov 25, 2018 191 Micheline Wannepain Raismes nov 25, 2018 190 Paul Euzière Euzière Grasse nov 25, 2018 189 Marie Paule DAMBRAIN Biganos nov 25, 2018 188 Kamil Monge Nice nov 25, 2018 187 Patrick STIEN Roeulx nov 25, 2018 186 olivia le maillot paris nov 25, 2018 185 Christian Graux Créteil nov 25, 2018 184 Jérémie OZOG Le TIGNET (06) nov 25, 2018 183 Nelly Montet Section des Bastides TARN nov 25, 2018 182 Bernard Gisclard section Vallée du Thoré Tarn nov 25, 2018 181 Evelyne Gues Les Arcs sur Argens nov 25, 2018 180 Thomas Waret Nice nov 25, 2018 179 Raymond Baraldi Les Arcs sur Argens nov 25, 2018 178 Max Martel Touet de L'Escarène nov 25, 2018 177 thomas Favier Champigny sur marne nov 25, 2018 176 Louise Wierup Marseille nov 25, 2018 175 Alain CLAIRE ROQUEBILLIERE 06 nov 25, 2018 174 Vincent Martel Nice nov 25, 2018 173 thierry avelez fournols nov 25, 2018 172 Arnaud Picard Caluire-et-cuire nov 24, 2018 171 martine nativi Cagnes nov 24, 2018 170 Annick hanff Nantes nov 24, 2018 169 marc CHAPULIOT MAREUIL SUR CHER nov 24, 2018 168 Ghislaine JUMEAUX Gauchy nov 24, 2018 167 Dominique BEN CANTIN nov 24, 2018 166 Raymond CUBELLS BEZIERS nov 24, 2018 165 Philippe PEREK Aulnoy-lez-Valenciennes nov 24, 2018 164 Clément Vanier Amiens nov 24, 2018 163 Laghrour Marie Christine St Martin d hères nov 24, 2018 162 Olivier ABDELOUAHED Escaudain nov 24, 2018 161 Fabienne Karcz Mondrepuis nov 24, 2018 160 Ernesto monteagudo Le Pont de Claix nov 24, 2018 159 Ange TOMEI BASTIA nov 24, 2018 158 Louis DEFILIPPI SAINT-EGREVE nov 24, 2018 157 Maryline Bessière CASTELGINEST nov 24, 2018 156 Romain Le Blé Cannes nov 24, 2018 155 Philippe Pellegrini Nice nov 24, 2018 154 Alain PILNIAK GUESNAIN (59) nov 24, 2018 153 Brigitte CONTANT VILLEJUIF nov 24, 2018 152 Marie-Claude Brusselle Grenoble nov 24, 2018 151 Enzo LLorens Nice nov 24, 2018 150 Elsa RUBINSTEIN Nice nov 24, 2018 149 Fregat Christine Castelnavet nov 24, 2018 148 lucile castex noueilles nov 24, 2018 147 joel castex mezens nov 24, 2018 146 ghislaine castex MEZENS nov 24, 2018 145 roger jorquera Saint Martin D'Heres nov 24, 2018 144 christophe jorquera Saint Martin D'Heres nov 24, 2018 143 Sébastien Romero nov 24, 2018 142 Bernard Ethuin Haveluy nov 24, 2018 141 ELIANE ROUTIER noisy le sec nov 24, 2018 140 Valerie Tranchant Saint Martin d'heres nov 24, 2018 139 josette gawsewitch Paris nov 24, 2018 138 chantal Ballanfat Saint-Andre les vergers nov 24, 2018 137 Myriam Korobaeff Geishouse nov 24, 2018 136 Stéphane Leroy Ajaccio nov 24, 2018 135 Paul Fourchard Paris 15 nov 24, 2018 134 GEORGES VARENNE SAINT QUENTIN nov 24, 2018 133 Matilde Abrego Le noyer nov 24, 2018 132 Jean Claude Mazzolini Fontenay 92 nov 24, 2018 131 jean-jacques SUZANNE Orly nov 24, 2018 130 Eric GAGLIANO SARAN nov 24, 2018 129 Justine Proust Malakoff nov 24, 2018 128 Romain Riboldi Sens nov 24, 2018 127 Rachel Rance Saint Martin En Vercors nov 24, 2018 126 daniel richard Saint Cergues nov 24, 2018 125 Aurélien Jan Saint Quentin nov 24, 2018 124 baclot frederic dijon nov 24, 2018 123 Yannick riviere Brens nov 24, 2018 122 Ernest Monteagudo Isère nov 24, 2018 121 Guy Niel Gennevilier nov 24, 2018 120 Sebastien Halley Paris nov 24, 2018 119 Olivier Damlencourt SAINT AMAND LES EAUX nov 24, 2018 118 Eliane perrin Compreignac 87140 nov 24, 2018 117 Franck VINSOU MARRAKECH nov 24, 2018 116 jeanne JIMENEZ laboulbene nov 24, 2018 115 Michel PERRIN Compreignac 87140 nov 24, 2018 114 Pascale Mathiot Grasse nov 24, 2018 113 Loic Quettier Pins Justaret nov 24, 2018 112 christiane lamazere le plan nov 24, 2018 111 matthieu renault Paris nov 24, 2018 110 Guy Lamazere le plan nov 24, 2018 109 Christian SOURRI Marseille nov 24, 2018 108 bernard blanc les Assions nov 24, 2018 107 FRANCIS GUEZOU BERNES nov 24, 2018 106 laurent guillet saint martin d'heres nov 24, 2018 105 PATRICE MOREAU CUNEGES nov 24, 2018 104 Christian PLE Méounes les Montrieux 83 nov 24, 2018 103 Mohand Ghilas Bezons nov 24, 2018 102 Alain JANVRE Bazeilles (08) nov 24, 2018 101 virginie dumas neschers nov 24, 2018 100 Josette Tournay Méounes les Montrieux nov 24, 2018 99 Jack Asado Hauts-de-Seine nov 24, 2018 98 jean pierre POINSOT ARC LES GRAY 70 nov 24, 2018 97 Joel Copin ROUVROY nov 24, 2018 96 Marcel Yahiaoui Paris nov 24, 2018 95 Simone Richard Paris XV nov 24, 2018 94 Pierre Moret Bouffemont nov 24, 2018 93 Michel Latreille Rambouillet nov 24, 2018 92 Morane Brré BARRE Paris 15 nov 24, 2018 91 Albert BARRE Paris 15 nov 24, 2018 90 Allouche Maximilien Maisons-Alfort nov 24, 2018 89 Lucile Castex Mézens nov 24, 2018 88 Catherine DELALOY Saint Palais sur Mer nov 24, 2018 87 Claude Charneau Pertuis nov 24, 2018 86 Fabienne Liévin SaintRémy nov 24, 2018 85 Colette Carpentier Rethel nov 24, 2018 84 Jean louis NEGRI Isere Gières nov 24, 2018 83 Anne Castex Toulouse nov 24, 2018 82 Victor Courbon Toulouse nov 24, 2018 81 Julien Duquenoy Coulogne nov 24, 2018 80 Antonio Caprera Fontaine nov 24, 2018 79 Pierre Hemingway Pantin nov 24, 2018 78 Aurore Mathé ARCUEIL nov 24, 2018 77 Bernadette leydier Saint Etienne nov 24, 2018 76 Alain leydier saint etienne nov 24, 2018 75 Amy Lacaud Montagrier 24350 nov 24, 2018 74 Bruno Gogeon Mondoloni Ajaccio nov 24, 2018 73 Nicolas Kieffer Saint-Étienne nov 24, 2018 72 Jean-claude GASQUET 24110 nov 24, 2018 71 jean michel Bourdillon Cannes nov 24, 2018 70 Anne Marie KOLLI Paris nov 24, 2018 69 jacky thouvenin Essey-lès-Nancy nov 24, 2018 68 Nathalie Piccarreta Echirolles nov 24, 2018 67 Esteban ROJAS Strasbourg nov 24, 2018 66 yves Rallieres Puycelsi nov 24, 2018 65 valérie boisson mérignac nov 24, 2018 64 Gauthier Lahore Champigny nov 24, 2018 63 Julie Cochin Bouguenais nov 24, 2018 62 Patrick VILTART VALENCIENNES nov 24, 2018 61 Raphaël Gilquin Dijon nov 24, 2018 60 Antoine Raffaghello Nice nov 24, 2018 59 Yann Martin Trizay coutretot st serge nov 24, 2018 58 Michel Gagliano St Etienne nov 24, 2018 57 John Beullens Garennes/Eure nov 24, 2018 56 Marie Leclerc Étain 55 nov 24, 2018 55 Florence Costa Villejuif nov 24, 2018 54 Léonore Topelet Villejuif nov 24, 2018 53 François Lechevalier Yzeures-sur-Creuse (37) nov 24, 2018 52 Roquin Francois Saint-Martin-d'Heres 38 nov 24, 2018 51 Simon Roussel Section de Castres nov 24, 2018 50 Patricia Heude bezalles nov 24, 2018 49 Melissa Roussel Section de Castres nov 24, 2018 48 josiane cabot arles nov 24, 2018 47 Mario Beltramin Juvinas 07600 nov 24, 2018 46 Christine Jardel Le Lardin Saint Lazare nov 24, 2018 45 Jean marc Mourmans Venanson 06 nov 24, 2018 44 Nicolas Brette Le Lardin Saint Lazare nov 24, 2018 43 Huguette Le danois Lisieux nov 24, 2018 42 isabelle panis albi nov 24, 2018 41 Patrick Lievin nov 24, 2018 40 Ghislaine COTTREAU TALMONT ST HILAIRE nov 24, 2018 39 Monique Chatain Carqueiranne nov 24, 2018 38 Philippe Pudelko Hirson nov 24, 2018 37 annie ardoino Six-Fours - var nov 24, 2018 36 Françoise Carpentier Valenton nov 24, 2018 35 Jerome Rubes Saint Martin D'heres 38400 nov 24, 2018 34 Mathilde Rabut Terres froides nov 24, 2018 33 Lionel Hoff Bronvaux nov 24, 2018 32 Laurent Richard Terres froides 38 nov 24, 2018 31 Diana Kdouh Saint-Martin D'Hères nov 24, 2018 30 Jean François DRON PARIS 19-75019 nov 24, 2018 29 Natale Zicchina Ajaccio nov 24, 2018 28 PATRICE LE GALLOIS MONTPELLIER nov 24, 2018 27 Ekin TEK Paris nov 24, 2018 26 Pascal Galantini JARNY 54 nov 24, 2018 25 Cindy Pons Metz nov 24, 2018 24 david Bucci Le Pont de Claix nov 24, 2018 23 Caroline Wavelet Chartres nov 24, 2018 22 Marie Leclerc Meuse nov 24, 2018 21 Monique Chatain Carqueiranne nov 24, 2018 20 Andruccioli Gilbert Grasse nov 24, 2018 19 Larosière Jean François Nord nov 24, 2018 18 Jan Aurélien Saint Quentin nov 24, 2018 17 Dang Tran Jacqueline Rennes nov 24, 2018 16 Mathieu Piotrkowski Jarny nov 24, 2018 15 Cyril Morlot Vesoul nov 24, 2018 14 Yohann Pudelko Valenton nov 24, 2018 13 Charles Déportes Apprieu nov 24, 2018 12 Joelle Déportes Apprieu nov 24, 2018 11 Claude Ravel Le Grand-Lemps nov 24, 2018 10 Guy Manin Le Grand-Lemps nov 24, 2018 9 roger dizy ROCQUIGNY 08 nov 24, 2018 8 antoine bimbeau Paris nov 24, 2018 7 Paloma FERRIER Le Blanc-Mesnil (93) nov 24, 2018 6 Jean Claude Paté Quettehou nov 24, 2018 5 Pierre Dargham Vanves (92) nov 24, 2018 4 Christiane ODETTI Lavaur nov 24, 2018 3 Corinne BECOURT Saint-Quentin nov 24, 2018 2 Dominique NEGRI Saint-Martin-d'Hères nov 24, 2018 1 Emmanuel Dang Tran Paris XV nov 24, 2018
MARDI 2 OCTOBRE 19h. Paris, 61 rue VIOLET/ 38e congrès du PCF – Présentation du texte : « RECONSTRUIRE LE PARTI DE CLASSE – PRIORITÉ AU RASSEMBLEMENT DANS LES LUTTES »
Mardi 2 Octobre 2018 à partir de 19h00
Au Patronage Laïque, 61 rue Violet, 75015 Paris
(métro Commerce – Emile Zola – Dupleix)
Nous sommes des militants d’organisation du PCF. Notre texte est à la fois une motion de censure et un appel à reconstruire le Parti. Nous t’invitons à une réunion de présentation et de débats sur notre texte, que tu sois signataire du texte ou que notre démarche t’intéresse. Nous pourrons aussi aborder la protection sociale, un véritable enjeu de classe aujourd’hui. Notre parti vient de franchir un nouveau palier d’effacement. Les législatives de 2017 (1,23% des inscrits) ont débouché sur le plus mauvais résultat de notre histoire. Pour nous, cette nouvelle sanction ne résulte pas d’erreurs tactiques ou de « l’ingratitude de Mélenchon ». C’est la sanction logique du choix d’abandon de l’organisation et des positions communistes. Les quelques députés « gagnés », au prix de négociations humiliantes, ne justifient rien. Aucune remise en cause de nos stratégies n’a été faite, et aucun texte de congrès en dehors du notre ne propose d’analyse. Ce congrès n’a rien d’extraordinaire. Il a été avancé afin d’éviter les débats sur l’UE et les élections européennes. Le CN a d’ailleurs tracé la ligne politique avant le congrès lui-même, désigné un candidat sans appel à candidature. Alors que nous aurions pu recevoir les textes par la Poste durant l’été, la direction nationale a choisi de laisser les fédérations et les sections se débrouiller pour faire parvenir comme elles le peuvent les 100 pages du document de congrès aux communistes. Nombres d’entre eux ne les ont pas encore. Des groupes dirigeants se divisent sur plusieurs textes pour ce congrès. La lecture de ces différents textes montre si peu de différences que la conclusion s’impose : c’est une « lutte des places », un changement superficiel de tête. Tous reprennent en chœur les positions réformistes : « visée communiste », « dépassement du capitalisme », « réorientation des aides au patronat, des institutions de l’UE ». La crise de l’UE a franchi un nouveau stade. L’euro va jusqu’au bout de sa logique de concurrence de tous contre tous au profit des capitalistes et des plus puissants. La gestion du Brexit ou l’avènement au pouvoir d’un gouvernement populiste-nationaliste en Italie soulignent la nécessité d’apporter au rejet de classe de l’UE des propositions de rupture de classe. Notre lutte internationaliste contre la politique de l’UE, ses directives et l’euro est à l’opposé de l’illusion propagée d’une réorientation de l’UE du capital et de ses institutions. Nous ne suivrons pas Macron sur l’illusion d’une « souveraineté européenne ». Pour nous, le Parlement européen est un alibi démocratique. Communistes, nous ne pouvons l’utiliser que comme une tribune. Quand la direction nationale lançait un appel illusoire et hors-sujet pour que la BCE aide la SNCF (sic!) ou évoquait des « dérogations » aux directives, nous avons lancé une pétition nationale exigeant le maintien du monopole public. Faire converger les luttes, ce n’est pas les juxtaposer, encore moins les récupérer politiquement (pour renvoyer la solution à 2022), c’est construire les mobilisations à partir des concordances objectives d’intérêt. Notre texte vise à propager une démarche totalement différente, la seule qui ait un avenir avec une perspective nationale, de reconstruction du Parti de classe en partant de ses organisations locales qui se battent toujours. Les positions communistes sont essentielles pour construire les convergences de luttes. Nous débattrons des campagnes politiques essentielles pour alimenter la lutte des classes aujourd’hui et de se présenter à des élections dans des conditions bien plus positives qu’aujourd’hui.
A propos de la dernière vague de licenciements au Conseil national du PCF
Emmanuel Dang Tran, pour Vivelepcf, 29 septembre 2018
Exceptionnellement, nous reproduisons sur notre site un article qui ne vient pas de nous, en l’occurrence l’article de Médiapart du 25 septembre 2018 relatif aux licenciements au Conseil national du PCF. Il circule déjà largement dans le Parti sur les « réseaux sociaux ».
Le journaliste me cite, après m’avoir interviewé. Il rend très exactement le témoignage et les éléments que m’a aussi apportés Sylvie, l’une des camarades licenciés.
Je suis intervenu à la réunion du CN du 5 septembre 2018, après avoir été contacté par Sylvie. Mon objectif était d’informer les membres du CN car ils ne l’avaient pas été et les camarades licenciés n’avaient pas toutes leurs adresses. Leurs propres collègues, autres salariés du CN, apprennent, pour la plupart, maintenant seulement la situation. Mon deuxième objectif était d’être mieux informé par la direction exécutive. Le journaliste a eu plus de succès que moi. Mon troisième objectif, l’essentiel, était et est de contribuer à ce que les 4+2 camarades soient repris, reclassés dans de bonnes conditions (avec leur CV, ce sera très difficile), indemnisés à hauteur de leur préjudice, y compris moral, vu leur engagement pour le Parti. Les difficultés financières du CN sont réelles et rentrent dans un autre débat, de congrès, mais il reste beaucoup d’argent…
Il s’agit aussi de défendre l’image du Parti qui ne saurait passer pour un « patron comme les autres ».
A ce titre, plusieurs éléments ont de quoi inquiéter les camarades. Le CN choisit le recours, coûteux, à un cabinet privé de reclassement plutôt que de passer par Pôle Emploi (Sylvie a refusé « l’aide » du groupe privé). Il se vérifie aussi que des mouvements de personnels récents ont eu lieu, avec des embauches. L’intitulé, sinon la nature, des nouveaux postes diffèrent, beaucoup ou seulement un peu, de ceux qui sont supprimés. Les compétences des camarades licenciés n’ont jamais été remises en cause, notamment celles de Sylvie, qui est aussi militante du PCF depuis 37 ans. Dans le Parti, c’est aussi une considération qui devrait peser.
L’embauche, certes à un poste politique, ni confirmée, ni infirmée, par la direction du PCF contactée par Médiapart, de Christian Picquet, transfuge de la LCR, à 66 ans, a de quoi laisser les communistes pantois. Il n’y a pas si longtemps, nous dénoncions les « cumulards » !
Ce n’est pas de notre faute si l’ancien permanent de la LCR, spécialisé dans la rubrique anti-Marchais de « Rouge » a été mal payé et touche une petite retraite. Qu’il règle ses comptes avec l’héritier de sa maison-mère, le NPA, pour « travail » dissimulé ! Passé de la LCR à l’aile la plus pro-PS du PCF en … 2015 (après avoir constitué le parti alibi bidon, « Gauche unitaire »), M. Picquet a déjà bénéficié, grâce aux communistes, d’un emploi d’attaché au Parlement européen, puis d’un poste de conseiller régional à Toulouse. C’est déjà pas mal !
En 2008, il était licencié, au bout de 28 ans, à 55 ans, de la LCR où il touchait 1745 euros net par mois (Libération du 10 mai 2008). Fraternel, Krivine disait de lui : «C’est un vrai militant, mais des comme lui, j’en connais des centaines.» Avant de rappeler qu’à la direction tous les vieux ont cédé leur place, que la LCR «n’a que deux permanents et ne peut se payer le luxe d’en avoir un qui ne fout rien».
Tiens, Sylvie va précisément avoir 55 ans et 28 ans aussi de bons et loyaux services. Mais elle a aussi 6 enfants, 37 ans de militantisme fidèle pour le PCF de Gaston Plissonnier, Etienne Fajon et Georges Marchais et des compétences professionnelles et politiques que personne ne conteste…
Le PCF licencie, lui aussi
Article de Médiapart du 25 septembre 2018, Par Dan Israel
En proie à une chute de son budget, le Parti communiste a procédé à quatre licenciements économiques cet été, et devrait supprimer deux postes supplémentaires, pour aboutir à 30 salariés à la fin de l’année. Une secrétaire licenciée proteste et un responsable du parti opposé à la direction déplore que le PCF se comporte « comme un mauvais patron ».
Des lettres de licenciement qui arrivent au cœur de l’été, visant des salariés ayant plus de 50 ans, une longue ancienneté professionnelle, et dont trois sur quatre sont des femmes. Deux autres suppressions de poste sont à venir, et la situation est justifiée par les difficultés économiques récurrentes de l’employeur. Ces faits pourraient être banals, et ne pas plus retenir l’attention que les centaines de cas semblables qui se sont produits cette année. Mais l’employeur ayant procédé à ces licenciements économiques, fin juillet, n’est autre que le Parti communiste français (PCF). Et la procédure attire, fatalement, le regard.
Sylvie est l’une des salariées concernées. Celle qui a fait toute sa carrière au siège du PCF, dans l’emblématique immeuble de la place du Colonel-Fabien à Paris, n’accepte pas la situation. « J’ai 54 ans, j’ai adhéré à 17 ans au parti et j’y ai toujours milité, dans l’Essonne, indique-t-elle. Je suis employée au siège depuis 1991. J’ai commencé par le ménage, puis je suis passée par dix ans au standard, avant de devenir secrétaire. J’ai encore trois enfants à charge, qui voudra m’embaucher désormais, à mon âge, et avec un tel C.V. ? ». « Licencier comme cela, c’est grave, on se bat justement pour que de telles choses n’arrivent pas dans les entreprises. Je n’ai pas adhéré à un parti qui agit ainsi ! », insiste-t-elle.
Le licenciement de Sylvie et de ses collègues jette une lumière crue sur les finances du PCF. En chute libre. Selon la lettre de licenciement de la secrétaire, alors que le budget 2016 du parti s’élevait à 8,5 millions d’euros, il a chuté à 7,5 millions en 2017, et ne devrait pas dépasser 5,6 millions pour 2018. Cette brutale chute financière s’explique par les mauvais résultats électoraux lors des élections législatives et sénatoriales de juin et septembre 2017. Ils « se sont traduits par des pertes de sièges qui ont impacté le budget national ».
« Nous allons donc subir une perte de 1,6 million, soit une baisse de 27 % par rapport à 2017, et nos prévisionnels d’exploitation démontrent qu’à défaut d’économies substantielles, nous risquons d’être en état de cessation de paiement dès l’année 2019 », indique le courrier lui annonçant la suppression de son poste. Suppression qui « ne permet pas de solution de reclassement au sein du conseil national, compte tenu des éléments budgétaires évoqués et des profils de postes correspondant au nouvel organigramme », assure la lettre signée par Jean-Louis Frostin, administrateur du siège et directeur des ressources humaines du parti.
« Dès juin 2016, le comité exécutif national du PCF a engagé une réflexion sur le dispositif de travail, explique ce dernier à Mediapart. Nous avons fait en sorte de ne pas remplacer tous les départs à la retraite, nous avons négocié des ruptures conventionnelles avec des salariés et nous avons procédé au maximum à des économies, mais cela n’a malheureusement pas suffi. » Les licenciements se sont révélés inévitables, assure l’administrateur, et tous les postes de secrétaires et de conseillers politiques attachés à un seul dirigeant ont disparu, au profit de salariés « au service d’un collectif de direction ».
Là où le siège du PCF comptait 44 salariés en 2015, ils ne sont plus que 32 à l’automne 2018. Deux autres postes seront encore supprimés d’ici la fin de l’année, sans doute sous forme de licenciements économiques, et d’autres départs à la retraite sont attendus dans les prochains mois.
Contactés par Mediapart, les représentants du personnel (CGT) du siège du parti, Jérôme Wurtz et Yann Henzel, soulignent avoir « toujours veillé à ce que le maximum soit fait » pour éviter les licenciements, et rester « très attentifs à ce que tout ce qui est légalement possible dans ce cadre soit fait » concernant « ces licenciements, durement vécus, non seulement par les collègues concernés, mais aussi par les salariés du siège du PCF ». Un accompagnement personnalisé a été proposé aux licenciés, assuré par le cabinet de reclassement privé Oasys, « afin de les aider à définir et réaliser un nouveau parcours professionnel s’inscrivant dans un projet de vie ». Trois salariés sur quatre l’ont accepté.
Solidaires à la manœuvre
Pour protester contre les licenciements, ce n’est pas la CGT, mais le syndicat Solidaires qui a mené la fronde. Le 3 août, un courrier, signé par Virginie Duval, une militante d’Asso, l’antenne de Solidaires en charge du secteur associatif, et Cécile Gondard-Lalanne, la co-porte-parole, s’étonne de la procédure auprès des dirigeants du parti, et rappelle que le syndicat et le parti « se sont régulièrement retrouvés, dans le mouvement social, et au sein de collectifs pour les droits des chômeurs, pour la défense d’un vrai droit à la retraite ou encore pour les droits des femmes ».
Le syndicat demande que « les travailleurs licenciés puissent bénéficier d’un soutien financier supplémentaire leur permettant de toucher, par exemple, en plus de leurs indemnités de chômage un salaire complet jusqu’à leur retraite ou bien jusqu’à leur retour en emploi ». Mais le courrier reste sans réponse.
« Depuis le début de cette affaire, nous ne rencontrons que le silence, souligne Virginie Duval. Pour nous, il n’est pas concevable d’être un acteur du mouvement social et d’agir comme cela. Sans réponse au premier courrier, nous en avons envoyé un second aux députés, aux sénateurs et aux députés européens communistes. Sans obtenir plus de retour. »
La syndicaliste et Sylvie se sont aussi rendues à la Fête de l’Huma, le week-end du 14 septembre, mais les deux femmes n’ont pas réussi à capter l’intérêt des militants ou des sympathisants communistes. Elles soulignent que l’argent dépensé pour l’université d’été du parti, du 24 au 26 août à Angers, aurait pu être consacré à aider les salariés licenciés. « Durant l’été 2017, c’est EELV qui avait procédé à des licenciements collectifs. Le PCF et les Verts paraissent gérer leur parti comme une entreprise, c’est problématique », déplore Virginie Duval.
L’ancienne salariée estime pour sa part que le Parti communiste aurait dû veiller, comme le préconise le code du travail, à ne pas licencier en premier les salariés les plus anciens ou ayant charge de famille. L’administrateur du siège assure que cette règle ne s’applique pas lorsque tous les postes d’une même catégorie sont supprimés.
À notre connaissance, le seul élu à avoir questionné la procédure est Emmanuel Dang-Tran, figure de la fédération parisienne, communiste orthodoxe, opposé à la stratégie du Front de gauche et figure déclarée de l’opposition à la direction actuelle. Membre du conseil national, le « parlement » du parti, il y est intervenu à ce sujet le 5 septembre. « J’ai fait remarquer qu’il n’est pas admissible que des camarades soient licenciés sans possibilité de reclassement ou d’aide financière leur permettant d’aller jusqu’à la retraite, confirme-t-il. Il est particulièrement malvenu que le parti puisse apparaître comme un mauvais patron. Financièrement parlant, le PCF a encore largement les moyens d’arranger les choses. »
Pour Sylvie, la preuve qu’il reste de l’argent est que des embauches ont eu lieu récemment. Elle en dénombre cinq en 2017 et 2018, dont un remplacement de poste et quatre créations, contre huit départs et un décès depuis 2016. « On peut être amenés à faire des recrutements, mais pas sur les catégories de personnel qui ont été supprimées », répond Jean-Louis Frostin. « Sur les catégories de postes concernées, aucune embauche n’a été faite, ni avant, ni après ces licenciements », confirment les élus du personnel.
Selon nos informations, parmi les nouveaux salariés figure Christian Picquet, devenu salarié du siège peu de temps avant les quatre licenciements. Âgé de 66 ans, l’homme est une ancienne figure de la LCR, favorable à l’union des gauches, membre du PCF depuis 2015 et candidat du parti aux législatives en 2017. Il est membre du conseil exécutif national, l’organe de direction du parti, comptant 36 membres. Ni lui, ni l’administrateur du siège n’ont souhaité confirmer cette information.
Sylvie, elle, est résolue à se faire entendre. « Je vais engager une démarche aux prud’hommes. Je suis militante, j’agis comme je l’aurais fait pour n’importe quel autre salarié que j’aurais pu accompagner, dit-elle. C’est simplement plus douloureux. »
Congrès du PCF 2018 et lutte pour la SNCF: sur les abstentions en 2014 d’André Chassaigne sur les articles de la « réforme » ferroviaire portant dissolution de la SNCF historique.
APPEL DU 22 JUIN 2014
Nous appelons solennellement les députés communistes à voter contre le projet de « réforme ferroviaire ».
Les conditions d’un renforcement de la lutte cheminote et de larges convergences existent dans les prochains jours. La place des communistes est d’y contribuer.
Lettre ouverte adressée aux 7 députés membres du PCF.
Le 22 juin 2014,
Mardi 24 juin 2014 se déroulera le vote solennel à l’Assemblée nationale du projet de loi portant « réforme ferroviaire », en fait la dissolution de la Société nationale des chemins de fer français créée par le Front populaire et l’abrogation du statut de cheminots SNCF, fruit de 74 ans de lutte.
L’objectif de la « réforme » est de lever les derniers obstacles au processus de mise en concurrence et de privatisation du rail voulue par l’Union européenne, d’abattre des normes sociales faisant référence pour tous les salariés. Les conséquences désastreuses de cette politique sur le service public, la réponse aux besoins des peuples et les conditions sociales sont observables, sans contestation possible, dans tous les pays.
Depuis 11 jours, les cheminots, à l’appel des syndicats CGT et SUD, poursuivent une grève hautement consciente de ces enjeux. Le pouvoir, le Président et le Premier ministre en tête, surpris par la détermination du mouvement, déploie tout son arsenal de propagande et multiplie les menaces. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas entendu et lu une telle campagne de haine orchestrée contre des travailleurs.
Mais l’opération médiatique « menace sur le baccalauréat » s’est écrasée lamentablement. L’affaire des « TER trop larges pour les quais » se retourne contre ses responsables patronaux et gouvernementaux. La fable de la « réunification de la SNCF et de RFF » est démentie : le gouvernement ne peut plus cacher qu’il éclate la SNCF maintenant en 3.
Dans ce contexte, les prises de position à l’Assemblée et les interventions dans les médias, du porte-parole du groupe de la « Gauche démocrate et républicaine », où siègent les députés communistes, suscitent notre stupéfaction et notre colère.
Il y a un mois déjà, bien avant la grève, dans la confidentialité de la Commission parlementaire[1], André Chassaigne montrait son état d’esprit défaitiste en ne votant pas contre le projet. Il avait déclaré partager les objectifs affichés du texte. Il était, déjà, rentré dans une logique d’amendement validant de fait l’éclatement de la SNCF. Dans l’opposition de postures PS/droite, les surenchères de la droite ne peuvent pas occulter leur identité de vues étroite au niveau européen ou en France quant à la politique de privatisation des services publics.
La force de la grève aurait pu et dû renverser la logique du « moindre pire » et l’état d’esprit de résignation. Mais non ! En séance publique le 18 juin, Chassaigne s’abstient lors du vote de l’article 1, central, puisqu’il porte l’éclatement de la SNCF et sa disparition. Dans les médias, par exemple sur RMC, le jeudi 19 juin, jour de la première manifestation interprofessionnelle de convergence des luttes, Chassaigne appelle explicitement à la fin de la grève au nom « d’avancées » obtenues dans la discussion parlementaire.
Quelles avancées ! Le deuxième verre de rhum au condamné ?
La direction de la CGT-Cheminots a clairement qualifié ces « avancées » de tentative « d’enfumage », de « modifications de surface». Ces « concessions » gouvernementales téléphonées étaient prévues de longue date. Soucieux de désamorcer au plus vite la grève, le secrétaire d’Etat Cuvilier les avait déjà accordées le 14 juin en en attribuant le bénéfice aux syndicats de collaboration, CFDT et UNSA, (qui n’ont pas appelé à la grève…), court-circuitant la mise en scène prévue de l’adoption d’amendements à l’Assemblée.
Ne laissons aucune ambiguïté ! La création de la « holding de tête » est une disposition provisoire, en attendant la mise en concurrence complète. Politiquement « l’EPIC de tête » masque la division étanche entre les nouvelles entités « mobilités » et « réseau ». Techniquement, elle assume certaines fonctions centrales destinées à être réparties ultérieurement entre les autorités régulatrices, dont les euro-régions, où à être filialisées et/ou privatisées. Le modèle retenu par la « réforme » française suit de près l’exemple belge. La « holding de tête » SNCB, créée lors de l’éclatement de l’entreprise historique, vient d’être dissoute au 1er janvier 2014.
Les amendements visant à « renforcer l’EPIC de tête » ne font donc qu’alimenter le leurre. Le gouvernement a laissé aux députés « verts », les plus chauds partisans de l’UE et de la régionalisation, le bénéfice de l’amendement rajoutant l’expression fumeuse, dénuée de toute valeur juridique, sur le « caractère indissociable et solidaire » des entités issues du démantèlement de la SNCF. Il a laissé au groupe GDR le soin d’insérer un amendement attribuant à « l’EPIC de tête » la centralisation des cotisations chômage et logement des salariés des 3 entités. Cela n’a rien à voir avec la constitution d’un « employeur unique » dont se prévaut André Chassaigne. Cela n’aurait rien d’ailleurs d’un gage d’unité. Eloigner des entreprises privatisables la gestion du personnel et la liquidation des dispositions sociales, c’est le modèle choisi par les privatiseurs belges. En l’occurrence, les fiches de paye des cheminots sous statut ne comportent ni cotisation chômage, ni cotisation logement. A ce qu’on sache, la garantie de l’emploi et les facilités de logement font encore partie du statut !
Il ne saurait faire aucun doute que l’abrogation du statut et l’institution d’une convention collective de branche, négociée, suivant les règles Sarkozy/Parisot de la « représentativité », avec poids prépondérant du patronat et des syndicats de collaboration, sous les coups de boutoir de la concurrence, prépare des reculs sociaux sans précédent pour les cheminots SNCF, notamment en ce qui concerne leur régime de travail.
Une ombre a plané sur les débat de l’Assemblée : celle de Jean-Claude Gayssot, le ministre qui a appliqué la première loi de division de la SNCF avec la création de RFF en 1997 puis a fait passer les première directives européennes de mise en concurrence – le « 1er paquet ferroviaire » – en 2001. A tour de rôle, les orateurs de tous les partis se sont répandus en louanges en l’honneur de Gayssot, présenté même comme conseiller des auteurs de la réforme d’aujourd’hui ! Communistes, nous ne pouvons pas nous permettre, pour la suite de la lutte, comme pour notre parti, de cautionner un deuxième cas Gayssot !
Le Conseil national du PCF s’est réuni les 14 et 15 juin. Nous avons vivement regretté l’absence d’André Chassaigne en ce moment crucial alors qu’il était à Paris et a participé à la réunion du club PS « Un monde d’avance ». Le CN aurait pu prendre le temps d’échanger et d’ajuster les positions tenues par le Parti et ses représentants au Parlement.
En tout cas, le CN du PCF a adopté une résolution claire de soutien aux grévistes et d’opposition à la réforme ferroviaire. Nous nous en félicitons, nous qui, depuis des mois appelons à une grande campagne nationale du Parti sur cette lutte essentielle et fédératrice.
Le Parti dans son ensemble aurait pu la lier à la question européenne pendant la campagne électorale. Rien n’aurait été plus juste. Aujourd’hui, il est frappant qu’aucune voix ne s’élève dans le débat parlementaire pour refuser l’application des directives européennes, la nécessité de se plier à « l’euro-compatibilité ». Alors que les peuples désavouent massivement l’UE du capital, alors que des luttes de cheminots se développent dans tous les pays contre la privatisation et ses conséquences – en Suède, en Belgique, en Grande-Bretagne, en Allemagne… -, alors que les grévistes français reçoivent des témoignages de soutien de cheminots de tous les pays… La rupture avec l’UE du capital partira des luttes nationales comme celle des cheminots et de leur jonction internationaliste ! Communiste, c’est plus que jamais, ce que nous devons mettre en avant !
Pour l’engagement du PCF, mieux vaut tard. Allons-y à fond, tous ensemble !
Des grévistes ont suspendu le mouvement. Ils ne l’ont pas fait convaincus par la campagne conjointe du gouvernement, de la CFDT et de l’UNSA. La rage au ventre, ils ont jugé préférable de garder des forces. D’autres, dans le même état d’esprit, souvent – et c’était marquant dans les rassemblements des 17 et 19 juin – des jeunes, poursuivent la grève, l’organisent dans la durée.
Communistes, l’heure est toujours, et plus que jamais, à alimenter la lutte et son développement alors que des semaines très intenses d’affrontement politique s’annoncent, porteuses de grandes opportunités de convergences de lutte.
Lorsque les députés voteront sur la « réforme ferroviaire » le 24 juin, la discussion aura déjà commencé sur les budgets rectificatifs (Etat et Sécu) porteurs des pires dispositions antisociales du « Pacte de responsabilité » contre les salariés, les retraités, l’hôpital public etc. Exactement dans le même temps, comptant sur l’été pour charger la barque des mauvais coups, le gouvernement lance sa contre-réforme territoriale, programmée début juillet au Sénat.
Les mobilisations des travailleurs grandissent. Les fonctionnaires territoriaux, menacés au plus haut point, s’engagent dans une grève reconductible. Leur lutte est directement connectée à celle des cheminots alors que les Régions (« de gauche ») poussent à l’éclatement de la SNCF, à la régionalisation et ont obtenu de fixer les tarifs ferroviaires dans la « réforme ».
La journée d’action interprofessionnelle du 26 rassemblera très largement, notamment les autres salariés des transports (dont la RATP). Des luttes se développent partout en France à La Poste contre les « réorganisations ». La casse industrielle – Alstom, PSA, raffineries … – suscite l’intervention des travailleurs.
Dans ce contexte, le vote des députés PCF[i] contre la réforme ferroviaire, contre la dissolution de la SNCF, pour une véritable réintégration de RFF dans une société nationale unique, contre l’abrogation du statut, est une nécessité absolue. Communistes, nous n’aurions même pas pu imaginer une autre position sans les derniers déroulements à l’Assemblée.
Ensemble, interpelons ces députés PS, qui se disent « affligés », qui émettent des critiques sur la politique qu’ils ont soutenue jusqu’alors et qui prétendent, à leur tour, amender et aménager le « pacte de responsabilité ». Double jeu, numéro de claquettes ? C’est évident, du moins s’ils ne s’opposent pas à la « réforme ferroviaire » comme les cheminots de leur circonscription le leur demandent avec insistance.
Le développement des luttes, de la lutte des classes, remet à leur place les préoccupations de ceux à « gauche » qui préparent la relève de Valls à Matignon ou les primaires de 2017. Il démonte le consensus PS/droite sur les questions économiques et sociales, guidé par l’UE du capital. Il prend totalement à contre-pied la démagogie « sociale » de l’extrême-droite raciste et bourgeoise.
Camarades, n’ayons pas peur d’être communistes ! La rupture politique ne pourra partir que des luttes ! Notre place est avec cette avant-garde, dont les cheminots sont actuellement la locomotive !
PREMIERS SIGNATAIRES (Chronologie) :
Corinne BECOURT (secrétaire de la section du PCF de Saint-Quentin), Emmanuel DANG TRAN (Membre du CN du PCF, secrétaire de la section de Paris 15ème), Claude FAINZANG (Membre du CN du PCF, Paris 19ème), Michel GAGLIANO (syndicaliste cheminot, ancien membre du Conseil national de la fédération CGT des cheminots, communiste, Saint-Etienne), Armelle HERVE (Secrétaire de la section du PCF de Mantes-la-Jolie), Eric JALADE (Membre du CN du PCF, secrétaire de la Fédération du PCF du Tarn), Marc JAMMET (conseiller municipal PCF de Mantes-la-Jolie), Eric MONINI (secrétaire de la section du PCF du Jarnisy, fédération de la Meurthe-et-Moselle), Cyril MORLOT (secrétaire de la fédération de la Haute-Saône du PCF), Dominique NEGRI (Membre du CN du PCF, secrétaire de la section de Saint-Martin-d’Hères), Michel PERRIN (Syndicaliste cheminot, section PCF cheminots de Limoges, ancien secrétaire de la fédération du PCF de la Haute-Vienne), Nino PICCARETTA (section d »Echirolles, fédération de l’Isère), Laurent RICHARD (secrétaire de la section du PCF des Terres Froides, fédération de l’Isère), Pierre VIRGILIO (secrétaire de la section de Thil, fédération de la Meurthe-et-Moselle)