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Manifestation à Beer-Sheva (Israël) contre la destruction programmée de villages bédouins (PC d’Israël)

 

Parti communiste d’Israël, traduction MlN pour « Solidarité internationale PCF – vivelepcf », 5 mars 2016

Des centaines d’opposants, arabes et juifs, ont manifesté jeudi 3 mars à Beer-Sheva contre le projet du gouvernement de démolir deux villages bédouins et de construire une nouvelle colonie juive à leur place.

Suivant un plan soutenu par le gouvernement, les habitants des villages arabes-bédouins non reconnus d’Atir et d’Umm Al-Hiran, situés dans le sud du désert du Néguev, sont censés être expulsés pour permettre l’installation, sur leurs ruines, d’une nouvelle colonie juive qui doit s’appeler Hiran. Le gouvernement a donné son accord au projet en 2013 mais son exécution a été retardée à la suite d’une longue bataille juridique. En janvier cependant, la Cour suprême a rejeté le dernier recours déposé par les habitants ouvrant la voie au commencement des démolitions.

«  Nous nous tenons aux côtés des habitants des villages non-reconnus et disons au gouvernement que nous ne bougerons pas d’Umm Al-Hiran et d’Atir » a déclaré Ayman Odeh, député à la Knesset [du Hadash, coalition incluant le Parti communiste], tête de liste de la « Liste unifiée » aux dernières élections [coalition électorale avec les partis arabes d’Israël], lors du rassemblement devant le tribunal de district qui a suivi la manifestation. « L’évacuation d’une communauté arabe pour installer une communauté juive représente le franchissement d’une ligne rouge, une grave escalade dans la discrimination d’Etat à l’encontre de la minorité arabe ». Odey a ajouté que la reconnaissance des villages, la mise en place des infrastructures de base – écoles, services médicaux – correspond à des droits élémentaires de chaque citoyen. « J’appelle tous les habitants du Néguev à nous rejoindre dans cette lutte dont le succès va dans l’intérêt de tous ceux qui habitent ici. » Dov Khenin, député à la Knesset, également du Hadash et de la « Liste unifiée », s’est adressé à la foule et a rappelé que « deux autres villages arabes-bédouins, Al-Fur’a et Al-Za’rura doivent également être rasés pour laisser place à une mine de phosphates ».

Michal Rotem, une des porte-parole du « Forum Coexistance-Néguev pour l’égalité civique », un groupe mixte arabe et juif qui a aidé à l’organisation du rassemblement, a déclaré à l’agence de presse chinoise Xinhua que les maisons risquaient d’un moment à l’autre d’être évacuées et démolies. « Les pelleteuses sont déjà à l’œuvre juste à côté des habitations d’Umm al-Hiran, construisant la colonie de Hiran ». Elle a ajouté que le plan du gouvernement prévoyait d’intégrer l’espace du village d’Atir dans la forêt voisine de Yatir.       

 

Manifestation à Beer-Sheva (Israël) contre la destruction programmée de villages bédouins (PC d’Israël)

Tsipras, en visite en Israël, et Netanyahou se congratulent : les amis de nos ennemis sont nos …

Vivelepcf, 28 novembre 2015 (sources : presse grecque et déclarations officielles)

SUR LA RENCONTRE TSIPRAS/NETANYAHOU ET SA GRAVITE

Le premier ministre grec Alexis Tsipras vient d’effectuer un voyage officiel en Israël au cours duquel il a rencontré le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.

Dans leur communiqué commun du 25 novembre et au cours d’une conférence de presse conjointe, ils se sont félicités du haut niveau de la « coopération stratégique » entre leurs deux Etats. Ils ont exprimé leur préoccupation commune face à la montée du « Jihadisme ».

Ils se sont aussi réjouis des avancées de leur collaboration économique, notamment dans le domaine de l’énergie avec la perspective d’une exploitation commune – aussi avec Chypre – de gisements de gaz. L’augmentation du nombre de touristes israéliens séjournant en Grèce a été saluée.

Dans un hommage appuyé, Netanyahou a loué les réformes économiques difficiles mais courageuses entreprises par Tsipras en Grèce. Il les a comparées aux siennes.

Tsipras s’est défini en « ami », en « partenaire », en « allié » d’Israël. A ce titre, il a « écouté avec intérêt » les positions de son homologue israélien sur la question palestinienne. Tsipras a exprimé son rejet du terrorisme et de la violence, mais aussi de la violence exercée à l’encontre des populations civiles.

Le 26 novembre, Tsipras a rendu visite au Président d’Israël, Reuven Rivlin, pour célébrer les 25 années de relations diplomatiques entre les deux pays. Dans ses déclarations, Tsipras a affirmé notamment que la Grèce était « l’amie d’Israël » et qu’elle était à sa disposition pour « faciliter les négociations » avec les Palestiniens. Il a réaffirmé le besoin d’Israël de protéger ses citoyens et d’assurer sa sécurité. Il a également estimé que « face à la terreur en Europe, ils (avec Rivlin) devaient envoyer un message, d’ici, de Jérusalem, pour affirmer que la coopération peut vaincre l’extrémisme et la haine ».

Tsipras a commis un acte symbolique de grande conséquence en reconnaissant Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël. Il a écrit sur le livre d’or de la Présidence cette phrase en anglais :  » avec l’immense honneur de se trouver dans votre capitale historique et de faire la rencontre de votre Excellence, Alexis Tsipras, 26/11/2015 ».

C’est une question politique très sensible. La plupart des pays ne reconnaissent pas Jérusalem comme capitale d’Israël, n’entérinant pas l’annexion de Jérusalem-Est en 1967. Le ministère français des affaires étrangères indique par exemple sur la page de son site internet présentant Israël: « Capitale : l’Etat d’Israël a fixé sa capitale à Jérusalem en dépit de l’absence d’accord international sur le statut de cette ville ».

Visiblement, Tsipras est prêt à tout pour gagner la sympathie du pouvoir israélien…

CLARIFIER PLUS QUE JAMAIS LES POSITIONS DU PCF SUR SYRIZA ET TSIPRAS

Communistes français (qui tenons ce site), nous condamnons ces graves positions internationales du gouvernement grec SYRIZA-ANEL. Elles ne se sont pas nouvelles. En juillet 2015, il signait un accord de coopération militaire renforcé avec Israël (voir notre article en lien). En avril 2015, il co-organisait des manœuvres militaires aéronavales inédites avec les Etats-Unis et Israël (lien).

Il ne se passe pas une semaine sans que la réalité et la gravité de la politique de Tsipras et SYRIZA ne se confirment. Depuis leur arrivée au pouvoir à Athènes (et même avant), sur la base de faits et d’analyses, notamment de nos camarades du Parti communiste grec KKE, nous mettons en garde contre la duperie de l’opération SYRIZA et ses dangers politiques également dans le mouvement progressistes des autres pays et de France. Illusionnés par les médias, par le discours de certains partis de gauche, par leur volonté de croire, bien des camarades et amis refusaient de nous entendre. Les choses ont changé depuis les reniements les plus évidents et la mise en œuvre par Tsipras du pire plan antisocial qu’ait frappé le peuple grec.

Pourtant, certains dirigeants du Parti de la gauche européenne (PGE) continuent de nier l’évidence. Pierre Laurent, notamment, secrétaire national du PCF a tenu à s’envoler pour Athènes en septembre pour chaudement féliciter Tsipras après sa réélection.

Aujourd’hui, des collaborateurs du PGE ne veulent voir dans la visite de Tsipras en Israël/Palestine que l’entretien rituel et les bobards convenus de la rencontre à Ramallah avec le cacique Mammoud Abbas. Même François Hollande a fait mieux dans cet exercice… Certains vont peut-être nous justifier les flagorneries à l’endroit des dirigeants israéliens en nous expliquant qu’elles relèvent d’un subtil calcul secret de Tsipras pour contrebalancer, grâce à Israël, le poids des pressions de l’UE, la BCE et du FMI… On en a déjà tellement entendu !

Dans ce registre, l’Humanité-dimanche du 19 novembre a osé titrer un article : « Grèce. Alexis Tsipras solide soutien de la grève » avant d’écrire notamment « Près de 15.000 personnes ont défilé à Salonique. La grève, appuyée par le gouvernement, le KKE et Unité populaire a été très suivie ». Quelle honte pour ce qui fut notre journal et qui enfreint maintenant toute déontologie journalistique ! Mettre gouvernement et KKE du même côté de la barricade! Et tordre la réalité la plus manifeste : la grève était précisément dirigée contre la politique de Tsipras et du gouvernement ! Le double-jeu tordu d’une partie de SYRIZA ne peut plus tromper personne.

Pourquoi cette obstination des dirigeants du PCF avec Pierre Laurent et de la rédaction de l’Humanité, alors que même Mélenchon ne suit plus ? Ont-ils peur de se désavouer avant des échéances électorales? Pensent-ils toujours que s’afficher derrière Tsipras leur donne une stature et une crédibilité ? Veulent-ils s’inspirer des roueries politiciennes de Tsipras ? Ou bien sont-ils aussi alignés que lui sur les tenants de l’idéologie dominante de France et d’Europe?

L’alignement de Pierre Laurent et des parlementaires communistes sur l’Union nationale de Hollande et l’état d’urgence après les attentats du 13 novembre fait gravement réfléchir.

Concernant la Palestine, combat constant des communistes, dont la JC a fait la priorité de son action, ne pas désavouer publiquement Tsipras démolirait des années de lutte.  

CAHIERS COMMUNISTES N°10 – SPECIAL GRECE – DISPONIBLE – RAPPEL

Tel-Aviv-Plage invité officiellement à Paris-Plage : consternation ! (complété)

Complété le 11 août (suivre le lien)

Vivelepcf, 6 août 2015. Devant l’incrédulité de nombreux lecteurs hier et l’absence de sources primaires autres que celles d’associations et groupements liés à l’ambassade d’Israël, nous avons suspendu la publication de l’article jusqu’à confirmation définitive. Celle-ci est arrivée de la Ville de Paris, après de nombreux coups de téléphone. « Tel-Avis à Paris plage » figure désormais dans le programme officiel de Paris Plage, remanié ce 7 août: suivre ce lien http://quefaire.paris.fr/articles/107 (image ci-dessous). Malheureusement! Nous appelons encore davantage, sur la base de notre réaction, de notre analyse et de nos propositions émises hier, à interpeller les élus parisiens. Si une décision si lourde de conséquences a été prise à leur insu, c’est un problème supplémentaire. Sinon, pourquoi n’ont-ils pas réagi? Leurs coordonnées figurent en bas de l’article. Sur un sujet aussi sensible, d’ici le 13 août, la vigilance est de mise pour éviter de tomber dans toute provocation et laisser notre protestation être amalgamée à des positions qui ne sont pas les nôtres, voire qui y sont totalement contraires. La rédaction de Vivelepcf [Attention, il ne s'agit pas d'une position officielle du PCF Paris, mais d'une position des animateurs du site vivelepcf.fr, partant de la réaction de la section du PCF Paris 15].

agrandissement de la page du site officiel « Que faire à Paris? » portant sur Paris plage. Capture d’image le 7 août à 13h00.


Deux faces du système israélien à 50 km l’une de l’autre

Tel-Aviv-Plage invité officiellement à Paris-Plage : consternation !

Des camarades communistes parisiens nous ont fait part de leur consternation à la nouvelle de l’installation le 13 août d’un espace « Tel-Aviv-plage » à Paris-plage, sur les bords de Seine, entre le pont d’Arcole et le pont Notre-Dame.

On apprend sur des sites israéliens que la municipalité de Paris a finalisé cette opération avec la municipalité de Tel Aviv lors de la visite d’Anne Hidalgo en Israël en mai dernier.

Nous n’avons rien a priori, bien au contraire, contre des échanges culturels avec des créateurs israéliens, avec le peuple israélien. Mais là, il ne s’agit absolument pas de cela mais d’une opération officielle destinée à faire la promotion de « l’ambiance festive tel-avivienne », comme l’expliquent le site « Israël Cool » ou le site « TiptopTel-Aviv », reprenant la présentation des concepteurs. Il y aura des « distributions de goodies » (sic), des dégustations dans des « Foodtrucks » (resic) avant une soirée endiablée avec un « DJ connaisseur des nuits locales » (reresic).

Cette initiative de la Mairie de Paris est moralement indécente. Il est politiquement scandaleux de donner aux Parisiens une telle image de la vie israélienne.

L’image de l’insouciance et de la jouissance « bling-bling » de quelques-uns sur les plages privées branchées de Tel-Aviv est gravement trompeuse. Elle n’est que le pendant d’une politique gouvernementale et d’une économie basées sur l’inégalité, la pauvreté de masse, le racisme d’Etat et un colonialisme criminel. Il faut le dire !

Il y a un peine un an, l’Etat et l’armée israéliens plongeaient la bande de Gaza dans la guerre, sous un déluge de feu, causant 2300 morts et plus de 10.000 blessés pour essayer de perpétuer leur ordre colonial sur la Palestine et leur domination dans la région. Comment accepter, Parisiens ou Israéliens humanistes, qu’on essaie de nous le faire oublier sous les paillettes des discothèques de Tel-Aviv ?

Il y a un an à peine, à quelques dizaines de kilomètres des plages de Tel-Aviv où se trémousse une certaine jeunesse, des gosses palestiniens étaient littéralement abattus par de jeunes soldats israéliens. Nous avons aussi une pensée pour ces derniers que la défonce dans les clubs de Tel-Aviv ne guérira pas du profond traumatisme causé par les crimes que le système israélien leur fait commettre.

A deux encablures du rivage de Tel-Aviv, des flambeurs israéliens s’amusent à se faire peur sur des casinos flottants (par hypocrisie religieuse, les tripots ne peuvent se trouver sur la terre ferme « sainte »). A quelques encablures des côtes de la bande de Gaza, les petits bateaux de pêcheurs palestiniens sont refoulés ou coulés parce qu’Israël leur interdit de pêcher dans leurs propres eaux territoriales.

La scandaleuse initiative « Tel-Aviv à Paris-plage » accroît un malaise, déjà profond, à l’égard de la municipalité de Paris. L’an dernier, Anne Hidalgo n’a rien trouvé de plus opportun que de condamner certains manifestants contre la guerre à Gaza, mais jamais les crimes d’Israël. En 2011, Delanoë avait fait déployer sur 5 mètres devant l’Hôtel de ville le portrait du soldat franco-israélien Gilad Shalit parti s’engager dans l’armée israélienne et fait prisonnier. En revanche, pas un mot de sympathie pour le jeune franco-palestinien Salah Hamouri injustement enfermé par les services israéliens. Etc.

Il est encore temps de faire annuler la présence des animateurs tel-aviviens à Paris-plage.

En outre, la municipalité a parfaitement la possibilité de mettre en place à proximité un kiosque d’information sur le sort des enfants, miséreux, privés de toit, de soins, évidemment de vacances, à Gaza, un espace qui organiserait une solidarité avec les petits orphelins et blessés des suites de l’agression israélienne de 2014.

C’est ce que nous demandons et demandons aux élus parisiens épris de justice et de paix de défendre.

Adresses mails de:

anne.hidalgo@paris.fr, Maire de Paris

bruno.julliard@paris.fr, 1er adjoint à la maire de Paris, chargé de la Culture

remi.feraud@paris.fr, Président du groupe PS au Conseil de Paris

nathalie.kosciusko-morizet@paris.fr, Présidente du groupe « Les Républicains »

david.belliard@paris.fr, Président du groupe EELV

eric.aziere@paris.fr, Président des élus UDI-Modem

nicolas.bonnet-oulaldj@paris.fr, Président du groupe communiste – Front de gauche

jean-bernard.bros@paris.fr, Président du groupe radical de gauche, centre et indépendants

Grèce/Israël : le gouvernement Tsipras signe un accord de coopération militaire renforcée avec le gouvernement Netanyahou

Vivelepcf, 29 juillet 2015

Tsipras, l'opportuniste: "solidaire" des enfants palestiniens en 2014, suppôt d'Israël en 2015!

Le 19 juillet 2015, les ministres grec et israélien de la défense, Panos Kammenos et Moshé Yaalon, se sont rencontrés. Ils ont conclu un nouvel accord de coopération militaire entre leurs deux pays. D’après le communiqué du service de presse du ministère israélien de la défense, repris par plusieurs journaux dont le Jerusalem Post, il s’agit en anglais d’un « Status of forces agreement – SOFA » (« Accord sur le statut des forces »), c’est-à-dire d’une entente juridique mutuelle permettant aux forces armées d’Israël de stationner en Grèce et inversement. La Grèce est le second pays après les Etats-Unis à signer un tel accord avec Israël. Le compte-rendu de la rencontre reprend, entre autres, ces propos de Panos Kammenos : « Le peuple grec est très proche du peuple d’Israël. Concernant notre coopération militaire, nos relations sont excellentes, nous continuerons à les entretenir et poursuivrons les entraînements communs. » – « Le terrorisme et le djihad ne frappent pas que le Proche Orient, mais également les Balkans et l’Europe. C’est la guerre. Nous étions également très proches d’Israël pour tout ce qui est relatif au programme de missiles de l’Iran. Nous nous trouvons à la portée de ces missiles. Si un missile iranien se dirige vers la Mer méditerranée, cela peut signifier la fin de tous les pays de la région. »

Il y a quelques semaines nous rendions compte des manœuvres aéronavales conjointes des forces grecques et israéliennes en mer Egée. Bien des camarades sont restés incrédules quand ils ne nous accusaient pas de tout inventer pour dénigrer le fétiche de la gauche radicale européenne Tsipras. Très peu ont accepté de reconnaître et de mesurer ensuite la décision du gouvernement Syriza-ANEL de signer – en avril, avant le nouveau mémorandum – un contrat de 500 millions d’euros pour la modernisation d’avions de reconnaissance américains.

Depuis, les manœuvres de Tsipras pour faire passer les mesures antisociales voulues par le capital grec, l’UE, la BCE, les capitalistes européens, le FMI et l’OTAN sont apparues au grand jour.

Depuis également, Tsipras et Kamennos se sentent en état de pousser encore plus loin la collaboration avec l’impérialisme israélien, beaucoup plus loin que les gouvernements Papandréou et Samaras n’avaient jamais tenté d’aller. L’an dernier, pendant la guerre contre Gaza, Tsipras avait publiquement condamné Israël et même le sionisme. Aujourd’hui, devant une opinion publique anesthésiée par la somme de ses reniements et des difficultés immédiates, il fait passer l’alignement inconditionnel de son pays sur l’Etat colonialiste.

Au-delà de la nécessaire démystification en France de Tsipras et Syriza, ces positions et actes récents doivent être résolument dénoncés. L’alliance de la Grèce sur Israël, responsable majeur de la déstabilisation du Moyen-Orient et de la Méditerranée orientale est lourde de conséquences pour toutes les nations d’Europe.

Nous condamnons et appelons à la condamnation la plus large de la politique extérieure pro-impérialiste grecque de Syriza et Tsipras.