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Articles par Vive le PCF

Disparition de Fabienne Liévin

Jeudi 26 novembre 2020, notre camarade Fabienne Liévin est décédée à l’âge de 66 ans. Sa résistance acharnée et son courage n’ont pas pu vaincre les multiples maladies et deux dernières années très rudes. Notre pensée et nos condoléances, en votre nom à tous, vont à Patrick, son époux, à leur fille, à toute la famille et à tous les camarades de la fédération du PCF de la Haute-Saône, dont Frédo Bernabé, à la fois camarade et proche ami de la famille. Ils sauront mieux que nous retracer les quelque 50 ans de militantisme de Fabienne, syndical à la CGT à la Poste, politique au PCF en Haute-Saône, la hauteur de son dévouement. Nous en avons vu de beaux extraits dans les initiatives du PCF 70, à la fête de l’Huma, à l’occasion de réunions nationales. Ce qui nous restera peut-être, au-dessus de tout, c’est la rigueur politique communiste de notre camarade : une réflexion poussée, une conviction toujours questionnée et retrouvée (pas dans les trahisons de nos directions nationales !). C’est aussi l’efficacité militante, avec une personnalité bien originale, mais très convaincante : un franc-parler, une forme d’inflexibilité que nous avons vraiment appréciée. Elle va nous manquer avant le 100ème anniversaire du Parti. Rions une dernière fois ! Comme disait un autre à propos d’un autre, c’était une femme carrée dans un corps rond et dotée d’un grand sens de l’humour et d’un immense cœur.

Les obsèques ont lieu ce lundi 30 novembre 2020 avec un hommage de la fédération du PCF. Nous renouvelons toutes nos condoléances à Patrick.

Tous les messages personnels lui seront renvoyés.

TRACT: Sur les pas de Juppé 1995 et Villepin 2006, Macron : « droit dans ses bottes », contre le peuple ! – Retrait pur et simple du projet de « retraite par points » !

Repris de PCF Paris 15e, 11 décembre 2019 

Le mépris du peuple rend sourd. Macron n’entend rien de la protestation populaire contre sa politique antisociale en faveur de la finance et des super-riches. Il ignore le bruit qui monte des manifestations massives, des grèves déterminées, de l’opposition majoritaire à son nouveau projet de casse de notre système de retraite solidaire, avec la « retraite par points ».

Appliqué et laborieux, le 11 décembre 2019, le premier ministre Philippe n’a fait que confirmer toutes les craintes. Loin de se contenter de chercher à « sauver la face », Macron fait le choix du passage en force sur les retraites pour faire passer tout son programme de contre-réformes et de destruction des services publics et des acquis sociaux et démocratiques, coordonné avec l’UE du capital. Malgré la période de l’année, le durcissement probable de l’affrontement, la mobilisation populaire, la convergence des luttes, doivent encore s’amplifier pour le faire plier.

Depuis des mois, le pouvoir est évasif et refuse de mettre en débat le vrai contenu de son projet. Acculé à se dévoiler, Edouard Philippe ne parvient pas à masquer que:

  • Au nom de « l’équité », le régime macronien entend utiliser les différences historiques entre les régimes de retraite pour abaisser les droits de tous.
  • Au nom de « l’universalité », le régime macronien veut se donner, avec le système « par points », le moyen d’abaisser mécaniquement, d’un coup, toutes les retraites, par exemple à la faveur d’une « crise financière ». La valeur du « point », déconnecté de la carrière des retraités et des cotisations sociales, sera la variable d’ajustement : évidemment à la baisse.
  • Au nom de la « responsabilité », Edouard Philippe confirme la perspective de passage de 62 à 64 ans de l’âge de départ à plein droit (d’ici 2027), aggravant encore les dispositifs SarkozyFillon (2010) et Hollande-Touraine (2017).

Sous-traiter la « gouvernance » des retraites, la fixation de la « valeur du point » aux « partenaires sociaux », avec le patronat en position dominante et le gouvernement en arbitre, n’a rien de rassurant. On le voit aujourd’hui dans les coupes sombres des allocations chômage.

Le premier ministre n’a pas davantage rassuré sur les situations particulières.

Pour diviser les générations, il prétend épargner les salariés nés avant 1975 (au lien de 1963 dans le projet Delevoye). Si la retraite par points est vraiment un don du ciel, pourquoi en priver les plus âgés ?

E. Philippe promet un minimum de pension à 85% du SMIC net. C’est une misère et, encore, ces 1000 euros par mois, ce sera seulement pour ceux qui auront cotisé au moins 43 ans au niveau du SMIC, arrivé à 62 ans puis 64 ans. Autant dire quasiment personne! Pour les autres, ce sera la pauvreté, le minimum vieillesse payé par la collectivité.

Pour les femmes, les familles, les réversions, le discours du premier ministre prépare, globalement, de nouvelles dégradations. Un petit mieux, peut-être, pour les parents d’un enfant unique, mais beaucoup moins pour les familles nombreuses et les veufs et veuves dont le conjoint avait à peu près le même salaire. Et combien de diables encore dans les détails ?

Pour les régimes dits « spéciaux », notamment SNCF et RATP, le premier ministre renvoie à des négociations dans les branches et les entreprises. C’est un chantage inacceptable. Le gouvernement et le patronat veulent diviser le monde du travail, isoler et stigmatiser les agents des services publics. Ils veulent les pousser à accepter la casse de leur service public, la destruction des monopoles publics, en contrepartie de la sauvegarde de quelques miettes de leurs acquis sociaux.

A EDF et GDF, on a vu où cela menait : à des dizaines de milliers de suppressions d’emplois, au bradage au privé de GDF (qui a été dissoute !), au démantèlement de la distribution, maintenant au scandaleux projet « Hercule » de scission d’EDF et de privatisation de la moitié de l’entreprise nationale. Signez la pétition : https://edf-stop-scission-privatisation.fr/ !

Aux agents hospitaliers, en cherchant à diviser les catégories (infirmières/aide-soignantes), E. Philippe promet de petits arrangements, dérisoires par rapport à la colère qui s’exprime dans les services et hôpitaux publics devant le détournement des financements de l’assurance maladie vers le privé. Quelques primes qui seront avalées par l’abaissement des retraites ? Ce n’est pas du tout pour cela que l’hôpital se mobilise le 17 décembre dans une journée nationale de grève et de manifestation.

Aux enseignants, dans la foulée d’Edouard Philippe, le ministre Blanquer propose un chantage indécent et méprisant. Pour limiter les pertes de 300 à 600 euros par mois sur leurs retraites et obtenir quelques primes et augmentations, les enseignants et personnels devraient accepter la dégradation des conditions de travail, la dénaturation de leur profession, l’abandon de la priorité à la transmission des connaissances, la transformation en « garde-chiourne » du système.

Il est clair que Macron joue la provocation, tente de passer en force, en profitant du calendrier avant Noël. Peut-être va-t-il se trouver des comparses pour tenter de dévier le conflit vers la violence. Mais il a le pays contre lui ! Sur des projets de moindre ampleur, les mêmes prétentions autoritaristes de Juppé en 1995 ou de Villepin en 2006 se sont platement écrasées. En 2019, les politiciens de la droite et de la « gauche » traditionnelles, ceux qui ont saboté, à tour de rôle, depuis 30 ans, le financement et les prestations de la sécurité sociale, n’osent même pas soutenir Macron (Ils pensent sans doute aux municipales). Même le patronat se fait discret.

De nouvelles catégories rentrent dans la lutte : routiers, pompiers, gardiens de prison, même policiers. Dans les villes petites et moyennes, les manifestations sont considérables en rapport à la population. Elles traduisent le rejet de la casse sociale et économique, de la désertification des territoires en services publics. La question du pouvoir d’achat, c’est celle des salaires d’abord, des retraites, celle du refus de l’explosion des tarifs des biens de base, gonflés par les délocalisations, par les privatisations, par les profits, la finance et la spéculation.

La colère générale, transformée en lutte conséquente, peut et doit aboutir à mettre en échec la politique de Macron, serviteur de l’argent-roi et de l’UE du capital.

La bataille contre la « retraite par points » est un point de convergence naturel pour l’immense majorité des travailleurs.

La section du PCF Paris 15ème vous appelle à participer à toutes les mobilisations, notamment à la manifestation du mardi 17 décembre 2019, en lien avec l’action des agents hospitaliers. Nous appelons à soutenir les enseignants, les agents de la SNCF et de la RATP, ceux des finances publiques etc. en lutte. Nous vous invitons à prendre contact avec nous et avec les syndicats pour prendre connaissance des lieux de mobilisation, des actions militantes, à proximité, dans les quartiers et les entreprises de notre arrondissement et les rejoindre

Macron joue à « ça passe ou ça casse ». Ripostons ! Il ne s’agit pas seulement du grave sujet des retraites, mais de tout son plan de liquidation des acquis sociaux, économiques et démocratiques de notre pays !

TOUS ENSEMBLE JUSQU’A L’ABANDON DU PROJET DE RETRAITE PAR POINTS, POUR FAIRE RECULER TOUTE LA POLITIQUE DE MACRON !

Nos propositions immédiates :

COMMUNISTES, NOUS SOUTENONS ET PORTONS CES REVENDICATIONS: Le RETRAIT DE TOUT PROJET DE RETRAITE PAR POINTS. Nous nous battons pour la retraite à 60 ans, complète avec 37,5 annuités. Ces paramètres correspondent à la réalité des carrières et posent le lien essentiel, solidaire, entre travailleurs actifs et retraités. Le financement doit se faire par la fin des exonérations et autres cadeaux au patronat (CICE) qui pèsent plus de 60 milliards d’euros par an. / Un plan d’urgence pour l’hôpital public avec suspension de toutes les fermetures de services et d’hôpitaux, avec 4 milliards d’euros immédiatement en 2020 pour la revalorisation des professions, l’embauche, l’investissement./ La défense et la reconquête des monopole publiques SNCF-RATP-EDF/ Le retrait du plan Darmanin de saccage des services des Finances Publiques/ Le retrait des projets Riester contre Radio-France et France-TV/ L’abandon des réformes inégalitaires du baccalauréat et du lycée/ Des moyens pour les écoles/  le maintien des APL et de toutes les aides sociales spécifiques que le projet de « revenu universel » veut écraser: L’annulation de la réforme-étatisation de l’assurance chômage/ La sortie de la France de l’OTAN et la basse des dépenses militaires etc.  FACE AU « EN MÊME TEMPS: LE TOUS ENSEMBLE! »

CONVERGENCES – PETITION EDF STOP SCISSION PRIVATISATION – SIGNEZ! FAITES SIGNEZ!

 https://edf-stop-scission-privatisation.fr/

CGT Energie et cheminots ensemble (Yvelines-Versailles-9 décembre)

Le projet de scission-privatisation d’EDF, de libéralisation totale du marché de l’électricité est un des plus lourds du quinquennat, directement piloté par Macron. Le mauvais coup devait être bouclé avant fin 2019. Il a été reporté de plusieurs mois.

Clairement, le gouvernement veut éviter la convergence avec la lutte contre la casse des retraites !

L’envolée programmée des tarifs de l’électricité et des taxes ne pourrait que raviver la révolte devant les hausses des prix des carburants en 2018.

La privatisation planifiée de la moitié d’EDF indique trop nettement le but de la « réforme ferroviaire » : la casse des monopoles publics de la SNCF et de la RATP. L’adoption d’un cadre « social » uniformisé du ferroviaire public-privé accompagne la dernière étape du processus de mise en concurrence. Le précédent d’EDF doit éclairer l’opinion en général, et les cheminots en particulier.

Voilà pourquoi nous faisons signer cette pétition en ligne (+ version papier), en plein mouvement contre la « retraite par points », et en pleine mobilisation des cheminots SNCF et des agents RATP, alors que les électriciens et gaziers participent fortement à la lutte pour les retraites.

TRACT GENERAL 5 DECEMBRE :

http://vivelepcf.fr/7633/prive-public-hopitaux-education-impots-transports/

Contre la répression anti-syndicale: soutien national à Alice GORLIER, CGT Ondulys-Saint-Quentin (usine de papier-carton)

Communistes, nous nous associons pleinement à la campagne nationale, lancée par la FILPAC-CGT, de soutien à Alice GORLIER. Son cas est sombrement « exemplaire ».  Il illustre le niveau de répression anti-syndicale qu’encourage directement le  gouvernement. Cette prétention dictatoriale du patronat découle directement de la série de lois et d’ordonnances, depuis plusieurs quinquennats, sur « la représentativité syndicale », sur « le dialogue social », contre « le droit du travail » que nous avons combattues et que nous continuons à combattre.

 

Pourquoi la FILPAC-CGT décide de faire de la réintégration d’Alice Gorlier, déléguée syndicale et élue CGT à Ondulys Saint-Quentin, une bataille nationale.


Le Directeur général du travail, Yves Struillou, directement placé sous l’autorité de la ministre Muriel Pénicaud, vient d’autoriser le licenciement d’Alice Gorlier, déléguée syndicale CGT et élue au CSE de la cartonnerie d’Ondulys à Saint-Quentin.

Cette décision, injustifiée et inique, va à l’encontre du refus du licenciement par l’inspection du travail mais satisfait le patron licencieur qui avait déposé un recours administratif. Elle va aussi à l’encontre de l’avis de l’inspecteur mandaté par le ministère suite à ce recours. C’est donc une prise de position de M. Struillou qui va contre l’avis de ses propres services. Pour la CGT, il s’agit ici d’une décision politique prise au niveau du gouvernement. Elle frappe notre camarade, mais elle vise également l’ensemble de notre organisation syndicale.

Avec le départ contraint d’Alice, c’est la purge anti-Cgt qui continue à Ondulys Saint-Quentin.

Depuis la constitution du syndicat CGT, la direction a multiplié, avec un acharnement insensé, les procédures afin de discriminer et réprimer le syndicat et ses militants et d’intimider l’ensemble des salariés. Ces 18 derniers mois, elle a déjà licencié quatre autres adhérents de la CGT.

Le ministère et le Directeur général du travail choisissent d’apporter leur soutien à une chasse aux sorcières anti-syndicale. Il faut croire que, plus que jamais, les forces de l’argent priment sur le ciment des valeurs de notre République !

La situation d’Ondulys rentre dans une évolution nationale alarmante alors que l’Organisation internationale du Travail s’est publiquement inquiétée de l’inflation des atteintes à la liberté syndicale en France et que le Défenseur des droits vient de lancer un appel contre la discrimination syndicale.

La FILPAC-CGT s’insurge contre ces atteintes aux conventions internationales et aux droits syndicaux fondamentaux dans notre pays, inscrits dans la Constitution et le Code du travail. La convention collective est également très explicite sur ce point et rappelle dans son article 8 que :

« L’exercice du droit syndical est reconnu dans toutes les entreprises dans le respect des droits et libertés garantis par la Constitution de la République, en particulier de la liberté individuelle du travail.

Les syndicats professionnels peuvent s’organiser librement dans toutes les entreprises.

Il est interdit à tout employeur de prendre en considération l’appartenance à un syndicat ou l’exercice d’une activité syndicale pour arrêter ses décisions en ce qui concerne notamment l’embauchage, la conduite et la répartition du travail, la formation professionnelle, l’avancement, la rémunération et l’octroi d’avantages sociaux, les mesures de discipline et de congédiement.

Il est interdit à tout employeur de prélever les cotisations syndicales sur les salaires de son personnel et de les payer au lieu et place de celui-ci.

Le chef d’entreprise ou ses représentants ne doivent employer aucun moyen de pression en faveur ou à l’encontre d’une organisation syndicale quelconque.

Toute mesure prise par l’employeur contrairement aux dispositions des alinéas précédents est considérée comme abusive et donne lieu à dommages et intérêts.

Les parties contractantes s’engagent :

– à ne pas prendre en considération le fait d’appartenir à une organisation syndicale ou politique, ou d’y exercer des fonctions ;

– à ne pas tenir compte des opinions politiques, philosophiques, des croyances religieuses ou de l’origine sociale ou raciale. »

La FILPAC-CGT apporte son soutien entier à Alice et mettra tout en œuvre pour que cette injustice flagrante, sombrement exemplaire, ne reste pas sans suite.

Sur décision de son Bureau fédéral, elle informe et mobilise ses syndicats dans tout le pays et lance une campagne de sensibilisation en direction des clients et partenaires d’Ondulys sur tous ses sites en France ainsi que vers de l’ensemble des syndicats représentatifs.

La FILPAC-CGT tiendra prochainement une conférence de presse en direction des médias nationaux et régionaux, ainsi que vers la presse spécialisés et professionnels de la branche, pour dénoncer les pratiques antisociales pratiquées par Ondulys avec, notamment, la violation d’un des droits le plus élémentaire des salarié.e.s : se syndiquer.

Par ailleurs, la question du lien entre la répression anti-syndicale à Ondulys et les grandes restructurations que l’entreprise s’apprête à opérer est clairement posée. Plus que jamais, dans ces circonstances, la FILPAC-CGT s’associe à l’ensemble de la CGT dans sa défense des missions et des moyens de l’inspection du travail.

Une saisine du Défenseur des Droits de la République va être effectuée, concomitamment aux diverses procédures administratives et judiciaires déjà engagées.

La mobilisation du plus grand nombre dans cette lutte légitime de la CGT sera décisive pour gagner la réintégration d’Alice et le respect des libertés syndicales à Ondulys.

Montreuil le 17 octobre 2019

MOTION DE SOUTIEN SYNDICAL:

Syndicat ……………………………………………

A……………………..,le ………………

Le syndicat …………………………………………dénonce la politique de répression syndicale et de harcèlement pratiquée par la direction de ONDULYS-ST-QUENTIN et, plus particulièrement à l’encontre de notre camarde Alice GORLIER.

Le syndicat ………………………………………….

apporte son entière solidarité à Alice et usera de tous les outils à sa disposition pour mener le combat au côté de notre camarade et pour faire la plus grande publicité sur la politique antisyndicale de l’entreprise ONDULYS-ST-QUENTIN.

Le syndicat ……………………………………………………

exige de la direction de l’entreprise ONDULYS-ST-QUENTIN qu’il réintègre, dans les meilleurs délais notre camarade Alice, et qu’il cesse immédiatement sa politique de répression syndicale et de harcèlement à l’encontre des élus CGT.

Pour Le syndicat ………………………………

Motion à envoyer à :

Nous vous remercions de bien faire parvenir la motion aux adresses mails suivantes de la direction d’Ondulys St Quentin:
eric.gheysens@ondulys.fr
jean-philippe.pavon@ondulys.fr
jean-philippe.delcourt@ondulys.fr
philippe.tran@ondulys.fr
wim.messiaen@vpk.be
et de mettre en copie au syndicat : cgtondulys02@gmail.com

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