Tracts

Les cheminots ne sont pas en lutte pour négocier le poids des chaînes de la concurrence/privatisation du rail ! Tract avant les manifs du 1er et du 3 mai.

Les cheminots ne sont pas en lutte pour négocier le poids des chaînes de la concurrence/privatisation du rail !

Malgré l’enfumage de Macron/Philippe/Borne et Pépy, l’ordre du jour est au renforcement et à l’extension du mouvement.

PETITION :  https://sncf-stop-concurrence.fr/ 

Tract PCF Paris 15, 25 avril 2018 

L’impact de la grève à la SNCF est toujours aussi fort à chaque épisode, n’en déplaise au PDG Pépy.

Loin de s’essouffler, le mouvement gagne en profondeur. La campagne de dénigrement des cheminots dans l’opinion a globalement échoué. La légitimité des cheminots à se défendre est largement reconnue. L’implication dans la défense du service public gagne du terrain.

Dans l’entreprise, les réserves sont considérables, qui attendent l’évolution du calendrier de lutte.

Car la gravité des effets du projet Macron/Philippe de concurrence/privatisation apparaît de plus en plus en plus nettement.

Pour chaque cheminot SNCF, ce n’est plus seulement le repère du statut qui est attaqué, mais l’ensemble des conditions de travail et de rémunération.

Les « négociations » ou plutôt les annonces autoritaires du gouvernement se succèdent. Elles confirment l’objectif de filialiser/privatiser le fret. On « négocie » l’éclatement des conditions de travail sur la base des reculs de la « réforme » ferroviaire de 2014/2016 : l’accord d’entreprise et ses dérogations plombés par le projet de convention collective au rabais et le « décret socle » a minima. Pour reprendre l’expression de la ministre Borne, on « négocie » le poids du « sac à dos social ».

Le renfort des salariés et de syndicats d’autres entreprises publiques se précise : il est important et crucial.

A Aéroport de Paris (ADP), après transformation en société anonyme par actions, puis ouverture du capital, la privatisation complète est programmée par Macron/Philippe. Pas d’illusion à se faire sur les pseudo-garanties que le gouvernement promet à la transformation en sociétés anonymes des établissements publics SNCF.

L’entrée en mouvement de la CGT et des salariés d’EDF, de ses filiales et de l’ex-GDF est hautement significative. Ils exigent le bilan public de 12 ans de marchandisation. Il est accablant. La concession obtenue en 2005 sur le statut des personnels des IEG (industries électriques et gazières) a à peine limité la précarisation et la casse sociale du secteur. GDF a été rayé de la carte, aux dépens de la sécurité d’approvisionnement. Les tarifs ont explosé du gaz (+80%) et de l’électricité (+30). Sans parler des compteurs Linky. La privatisation des barrages soulève l’indignation.

A la RATP, service public menacé de façon exactement similaire que la SNCF, la mobilisation se construit. Etc.

Ailleurs, le développement de lutte coïncide avec le mouvement cheminot : fonction publique, universités, justice de proximité, santé… Si la convergence ne se décrète pas la cohérence de la politique de Macron, détruisant les acquis sociaux et démocratiques en faveur des puissances d’argent est un facteur d’unification aisément compris.

Le mécontentement se transforme en colère et en lutte, rassembleuse et complémentaire de la défense des services publics, face à l’envolée des prélèvements fiscaux injustes, écrasant le pouvoir d’achat.

La majorité des retraités et les fonctionnaires subissent de plein fouet la hausse de 1,7% de la CSG, avec un remerciement hargneux de Macron à la TV. Les ménages qui disposent d’une auto et se chauffent au gaz vont être rackettés de 500 à 1000 euros par an au nom des nouvelles taxes « écologiques ».

Tous les contribuables font face à l’embrouille de la mise en place du « prélèvement à la source » de l’impôt sur le revenu : un sac de nœuds pour cacher les plus mauvaises intentions!

Les ministres s’y perdent à chaque fois pour expliquer la chose, parce qu’ils veulent cacher l’objectif réel de remise en cause de la fiscalité juste et progressive et du financement de la sécurité sociale pour donner encore plus aux riches et aux capitalistes.

Les agents des Finances publiques ont entamé des actions de lutte dans plusieurs départements qui devraient se rejoindre à partir du 3 mai nationalement. Les contribuables et même les dirigeants de PME expriment de plus en plus fortement leur révolte.

Non, vraiment, les cheminots ne sont pas seuls !

Et l’on comprend pourquoi le pouvoir s’acharne sur la « locomotive des luttes ».

Le mardi 1er mai, Journée internationale de lutte des travailleurs, peut et doit être une date marquante dans la globalisation de la lutte contre la politique du capital et de son laquais Macron. Loin des récupérations politiciennes.

Rendez-vous mardi 1er mai, 14h30 à Bastille. Puis le jeudi 3 mai, pour les manifestations des cheminots, agents des impôts et … ( la liste se complète)

 https://sncf-stop-concurrence.fr/

TRACT : SNCF, Alstom, droit du travail, justice de proximité, audiovisuel, facs… Macron et cie : Arrêtons-les ou bien ils vont faire un massacre !

Ceux qui pensaient, il y a un an, qu’avec Macron, « le changement, ce serait maintenant » se sont lourdement trompés.

Certes, ils étaient peu nombreux : 1 sixième des électeurs inscrits au 1er tour de la présidentielle et encore, parmi eux, ceux qui ont le moins intérêt au changement. Avec sa majorité à l’Assemblée d’opportunistes et de godillots, élus à la faveur d’une abstention record, Macron n’a pas de légitimité pour continuer à casser les acquis sociaux et économiques du pays au profit du grand capital international.

Macron poursuit et complète l’œuvre de Sarkozy et de Hollande. Pas de surprise, sous le premier, il était coordinateur de la « Commission Attali » puis banquier chez Rothschild (en charge notamment de préparer la vente d’Alstom-énergie). Sous le second, il a été conseiller du Président puis le ministre de l’économie qui a, entre autres, couvert la vente d’Alstom-énergie à General Electric (des centaines d’emplois et de technologies supprimés en France – maintenant c’est au tour d’Alstom-ferroviaire) et lancé les « Cars Macron » pour couler les trains régionaux (déjà ! – il ne fera pas croire aujourd’hui qu’il veut épargner les « petites lignes » ferroviaires).

La politique de Macron pèse déjà très lourd sur le pouvoir d’achat des travailleurs.

La hausse de la CSG s’abat notamment sur les retraités. L’envolée des taxes pseudos « écologiques » sur les carburants et le gaz prive en moyenne les ménages de 600 euros par an. La « suppression » progressive de la Taxe d’habitation est compensée par les contribuables eux-mêmes via le budget de l’Etat. Un nouvel impôt local est à l’étude. La plus grosse arnaque, aux dépens des ménages, aussi des petites entreprises, des finances publiques et de la sécurité sociale, c’est le passage au « prélèvement à la source » en 2019 (nous devrons toujours faire nos déclarations de revenu).

« En même temps », Macron a supprimé l’ISF sur les fortunes financières, diminué les impôts des spéculateurs.

« En même temps », la pénurie de moyens s’étend pour les hôpitaux mais les dépenses d’armement pour faire la police dans le monde sont encore accrues.

« En même temps », Macron attaque les quelques moyens de contrôle du Parlement français (avec ses ordonnances, son projet de loi institutionnelle), renforce ce qu’il faut appeler le contrôle d’Etat sur la désinformation (« Fakes News ») et museler l’audiovisuel public.

« En même temps », Macron veut préparer, avec Mme Merkel, un accroissement des pouvoirs de l’UE des capitalistes.

Rien n’a changé alors ? Si, la communication et la mise en scène politiques !

Là où Hollande pratiquait la présidence lénifiante, Macron pratique la présidence arrogante (dont le mépris pour les « gens qui ne sont rien »).

Le système a « inventé » Macron pour contourner l’épuisement du modèle de l’alternance « gauche »/droite pour mener, à tour de rôle, la même politique.

Aujourd’hui, droite et extrême-droite sont incapables de masquer leur accord avec la politique économique et sociale de Macron. Elles attendent leur heure pour, dangereusement, utiliser des questions, comme celle de l’immigration, pour détourner la protestation populaire.

La « gauche » institutionnelle, héritière de Mitterrand, de Jospin et de Hollande, commence juste à se refaire une virginité et mettre en avant de nouvelles têtes, qui jouent la posture « populiste » ou la posture traditionnellement social-démocrate.

Ni diversion, ni illusion politicienne: Désormais, le vrai et seul lieu de la riposte apparaît clairement : les luttes sociales et leur convergence pour commencer à mettre en échec cette politique, quel que soit le gouvernement qui la met en œuvre.

Dans la période avec la locomotive cheminote!

PETITION SNCF NON A LA LIVRAISON DU RAIL A LA CONCURRENCE PRIVEE

SNCF : attaque frontale contre les cheminots pour faire passer la concurrence et la privatisation. Retournons le calcul : Stoppons la machine à broyer les services publics et les droits sociaux !

SIGNEZ LA PETITION CONTRE LA MARCHANDISATION DU RAIL https://sncf-stop-concurrence.fr/

Pour imposer en France la mise en concurrence des trains de voyageurs, suivant les directives et le calendrier de l’UE, Macron et Philippe ont choisi d’attaquer frontalement, outrancièrement, les cheminots et leur « statut ».

L’objectif est clair : réduire le conflit à une question catégorielle et inciter les organisations syndicales à négocier en retrait les conditions de la marchandisation.

La force de la grève des cheminots et le soutien des usagers et de la population permettent d’imaginer renverser le calcul du pouvoir.

Faire passer les cheminots pour des « privilégiés » ne tient pas. L’attaque contre leur statut est directement mise en lien avec la volonté de précariser tous les salariés, après les ordonnances et l’automne et les menaces sur l’assurance chômage. Il est clair aussi que le gouvernement cherche à isoler les cheminots avant de passer à un nouveau démantèlement des régimes de retraite.

Le pouvoir, les médias, les politiciens de droite et « gauche » qui accompagnent lUE du capital et préparent la privatisation depuis des quinquennats, n’arriveront pas à éluder la question des conséquences de la livraison du rail à la concurrence privée, au centre du projet de loi/ordonnance.

La sombre expérience en France est faite depuis 25 ans dans les secteurs publics déjà mis en concurrence et plus ou moins privatisés.

Les prix de l’énergie ont explosé (+70% pour le gaz depuis 2004). La sécurité d’approvisionnement n’est plus assurée. GDF a tout simplement disparu.

Il y a dette et dette. Le chantage sur la dette de la SNCF doit attirer l’attention sur la dette de France Telecom des années de privatisation, que les usagers et clients continuent à payer : 45 milliards d’euros pour le rachat boursier de la marque anglaise « Orange », qui a perdu en 2 ans les 9/10èmes de sa valeur. On est loin de l’investissement dans l’entretien et la modernisation du service public.

Dans le ferroviaire déjà, la mise en concurrence du fret s’est traduite par une réduction de 40% du trafic au profit des transports polluants. Etc.

Sur le plan social, la « réforme ferroviaire » de la « gauche » (2014/2016) a préparé le terrain à un recul sans précédent des conditions de travail des cheminots, sous la concurrence, avec une convention collective au rabais, un accord d’entreprise SNCF qui organise la régression social service par service.

Depuis 15 ans, malgré le statut, l’anticipation de la concurrence/privatisation a déjà coûté 30000 postes, et autant de services, de guichets, de gares, de fonctions de contrôle et de sécurité. Avec le projet Macron/Philippe, le dernier verrou sauterait.

La livraison du marché à la concurrence privée ne peut que peser sur le service public, notamment les petites lignes, faussement épargnées (les régions feront le sale travail). L’équation est simple : Le profit privé ne peut que se faire au détriment du service aux usagers, et/ou des conditions de travail, et/ou des contribuables.

La bataille pour l’avenir de la SNCF n’est vraiment pas que l’affaire des cheminots !

La sympathie pour leur grève ne suffit pas. Nous ne sommes pas pour la « grève par procuration ».

Nous vous proposons d’agir, autour de vous, dans vos entreprises, en partant de vos revendications face à la politique au service du patronat.

Le 19 avril, une journée d’action nationale, avec grève et manifestations, est lancée par la CGT. Le 1er mai peut et doit être une grande journée de lutte des travailleurs unis contre les exploiteurs, avec les cheminots.

Communistes, nous mettons à votre disposition une pétition « pétition pour l’avenir du service public nationalisé SNCF », contre la transformation de la SNCF en sociétés anonymes, et contre la mise en concurrence sous l’égide de l’UE.

https://sncf-stop-concurrence.fr/ 

 

Non à la privatisation des concessions hydrauliques et les suppressions d’emplois ! Pour le monopole public de l’énergie !

Tract repris de la section du PCF de Saint-Martin-d’Hères

Le 7 février, le gouvernement Macron/Philippe annonçait son intention d’ouvrir à la concurrence les barrages hydrauliques. 14 ans plus tôt, le 9 août 2004, le gouvernement de l’époque faisait voter à l’Assemblée le changement de statut de EDF et GDF. D’établissements publics nationaux à caractère industriel et commercial, EDF et GDF sont devenues des sociétés anonymes suivant l’application des directives européennes d’ouverture à la concurrence de l’électricité (1996) et du gaz (1998). Cette annonce fait suite à la loi sur la transition énergétique votée en juillet 2015 à l’Assemblée et portant l’ouverture à la concurrence des concessions hydrauliques d’ici 2022 (article 29). La privatisation des services publics s’accompagne toujours de suppressions d’emplois. La même casse du monopole et du statut publics SNCF s’opère actuellement. Les cheminots comme les électriciens et les gaziers luttent contre la même méthode des gouvernements successifs : l’application des directives européennes de privatisation et de marchandisation des services publics qu’ils ont eux-mêmes votées.

Comme pour le rail, le retour au monopole et statut publics d’EDF et GDF (ENGIE) est un rempart contre la privatisation !

De la droite à la gauche puis Macron tous sacrifient ce service public

L’Etat français, actionnaire d’EDF (83,5 % au 31 décembre 2017), via l’union européenne du capital, s’appuie sur la privatisation pour faire pression afin de se conformer à la libéralisation du marché de l’énergie « au nom de la concurrence libre et non faussée », que les français ont repoussée par voie référendaire le 29 mai 2005. Pourtant, le gouvernement de droite (Sarkozy) prévoyait la mise en concurrence de 20% de notre puissance hydraulique entre 2015 et 2025. Le gouvernement précédent de gauche avec le soutien d’EELV l’a mis en œuvre. Le gouvernement actuel « ni de droite, ni de gauche » l’accélère !

Les tarifs en hausse riment toujours avec l’ouverture à la concurrence :
-  Hausse des tarifs (hausse de plus de 40% de l’électricité depuis 2004 et hausse de plus de 80% pour le gaz depuis 2005). Ca ne fait que commencer !
-  Suppressions d’emplois programmées : 5 000 d’ici 2019 à EDF
-  Baisse de la sécurité pour nous tous : pour l’Isère, nous parlons de 7 grands barrages hydrauliques sur des cours d’eau qui convergent sur l’agglomération grenobloise.

Les barrages, les installations sont à nous !

Les installations de production d’hydroélectricité ont été construites par l’argent public et par les factures des usagers. Elles nous appartiennent. Elles sont complètement amorties. L’usager n’a donc plus à supporter cette charge. L’électricité d’origine hydraulique est la moins chère à produire en France. C’est aussi la première des énergies renouvelables.

Elles représentent 12% de la production nationale d’électricité (plus de 25 GW, deuxième en Europe derrière la Norvège). Il existe plus de 400 barrages en France, propriété de l’Etat, donc des usagers, dont 85% concédés à EDF et 15% à ENGIE (GDF).

5600 hydrauliciens (chiffre de 2016) en assurent la maintenance et l’exploitation. Elle est également une énergie qui participe fortement à l’équilibre du réseau grâce à sa réactivité (pointe de consommation, relevage du réseau suite à un incident, variation de puissance rapide).

Elle est donc indispensable à la maîtrise du coût de production de l’énergie électrique. En décidant de se séparer de cette énergie, l’Etat va contribuer à désorganiser la production. S’en suivra des coupures d’électricité en hiver.

La sécurité de la production d’électricité et de gaz passe par une grande entreprise nationale détenant un monopole pour la satisfaction des besoins des usagers.

L’Etat brade son hydraulique et casse cette énergie propre.

- 5 à 8 milliards d’euros par jour : c’est ce que coûterait un black-out en France si on persiste à fermer des unités de production sans assurer l’équilibre du réseau électrique.

- 11 millions de français sont en situation de précarité énergétique. Ils consacrent plus de 10% de leur revenu à leur facture d’énergie. La déréglementation du secteur aggrave cette situation !

- 80% c’est l’augmentation du tarif du gaz depuis 2005 et la privatisation de GDF. Et les actionnaires, ils se sont augmentés de combien ?

- La contribution au service public de l’électricité représente 15% de votre facture annuelle TTC en sachant que presque les 2/3 servent à financer les énergies types renouvelables hors hydrauliques. Qui paie à votre avis ? Les contribuables sur les aides publiques à l’investissement. Les factures d’électricité sur la vente de l’énergie produite a un prix 3 fois plus élevé que le coût de production EDF.

- 20% c’est le taux de TVA appliqué sur la consommation d’énergie alors qu’il est normalement de 5,5% pour les produits de première nécessité. Il semble pourtant assez incontestable que se chauffer et d’éclairer est de première nécessité. Elle devrait être nulle !

La privatisation des concessions hydrauliques se fait au détriment de la Sécurité énergétique et engraissera des actionnaires privés. Les secteurs rentables (production et la fourniture d’énergie) seront livrés au privé, les secteurs non rentables (transport et distribution d’énergie resteront à la charge de la collectivité.

Non à l’UE de la concurrence libre et non faussée !

Les privatisations de EDF et GDF ont été commencées avec les premières directives de l’UE en 1996 et 1998 par les gouvernements précédents de droite et de gauche. Macron compte finaliser la privatisation de nos barrages hydrauliques au nom de la « concurrence libre et non faussée » de l’Union Européenne !

Refusons l’application des directives européennes de l’UE et la privatisation de des barrages hydrauliques ! C’est possible ! Exigeons le retour au monopole et statut publics de l’énergie, le retour d’EDF et GDF en établissements publics nationaux à caractère industriel et commercial, rempart à la privatisation !

Communistes, nous soutenons la lutte des salariés des salariés d’EDF et GDF qui converge avec celle des cheminots.

Nous luttons pour le retour au MONOPOLE PUBLIC de l’énergie exercé par deux seules grandes entreprises EDF et GDF avec des agents sous STATUT. Jamais la privatisation sera à la hauteur de cet enjeu.

Nous appelons tous les travailleurs à la Résistance. Ensemble, électriciens, gaziers, cheminots, usagers, salariés du public et du privé STOPPONS la politique de casse sociale et de privatisation à marche forcée de Macron !

Pour gagner sur nos revendications immédiates, construisons ensemble le rapport de force. Communistes, nous affirmons que la montée des luttes et leurs convergences portent les perspectives immédiates de rupture politique favorables aux travailleurs.