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La FN, Monique Führer, se voit attribuer singulièrement la vice-présidence de la Commission habitat de la Communauté d’agglomération de Mantes en Yvelines (CAMY)

Vivelepcf, 1erdécembre 2014

Mme M. FUHRER, FN, élue vice présidente de la Commision habitat de la Camy grâce à la droite

Aux dernières municipales, le FN gagnait la municipalité de Mantes-la-Ville dans les Yvelines à la faveur de l’abstention massive et des divisions des autres partis. Mantes-la-Ville, 19 000 habitants, appartient à la Communauté d’agglomération de Mantes en Yvelines (CAMY), 112 000 habitants, dont la commune principale est Mantes-la-Jolie.

En avril, l’élection du président et de l’exécutif de la CAMY avait été l’occasion d’intenses manœuvres politiciennes entre deux clans de droite opposés UMP/UDI que l’on n’insultera pas en les qualifiant de « très à droite ».

Au final, l’UDI Paul Martinez a emporté la présidence par 44 voix contre 43 et les deux clans de droite se sont partagé les vice-présidences de la CAMY, à raison de 7 postes chacun. La 15ème vice-présidence est revenue – étonnamment –  à Michel Lebouc, qui venait juste d’être élu nouveau maire divers gauche de Magnanville, présenté par les instances départementales et le maire sortant PS. M. Lebouc est ou a été adhérent du PCF (paraît-il !).

Le FN s’est joué de cette confusion, répartissant ses voix et ses approches entre l’un et l’autre.

Au sein de la CAMY, l’une des plus importantes commissions est la Commission habitat. Elle regroupe 18 des conseillers d’agglomération. Elle tenait sa réunion de mise en place à la mi-novembre. A l’ordre du jour figurait l’élection du vice-président qui, dans la pratique, en sera le responsable.

Qui vient d’être élu à la tête de cette commission stratégique qui traite, entre autres, de la construction, de l’attribution des logements ? Madame Monique Führer, adjointe FN au maire de Mantes-la-Ville !

Comment cela s’est-il fait ? Sur 18 membres, seuls 5 élus seulement étaient présents, dont Mme Führer et trois élus d’opposition (2 PS et 1 divers). Les représentants de la majorité, sauf un, étaient absents. L’exécutif de la CAMY n’avait curieusement proposé aucune candidature au poste de vice-président. Une seule s’est manifestée lors de cette réunion en petit comité, celle de la FN Mme Führer ! Et elle a été désignée sans plus de formalités ! Incroyable !

Les élus d’opposition présents ont déclaré à la presse avoir été pris de cours. Pas dégourdis ! Surtout pas une élue qui a accepté de devenir rapporteuse de la Commission à la même réunion !

L’absence de la plupart des élus de droite est-elle uniquement signe de laxisme est-elle la conséquence « ex-post » d’un « deal » passé avec le FN au printemps?

Sur cet exemple local, de portée limitée mais pas insignifiante, on observe la perméabilité des instances politiques traditionnelles à l’extrême-droite. C’est hautement préoccupant.

Les communistes de la section du PCF de Mantes-la-Jolie ne cessent de dénoncer ce système. Les élus doivent être tenus de s’expliquer, d’assumer. La désignation de Mme Führer doit être annulée !

Vigilance !

Défense de la SNCM – Rassemblement mardi 25 novembre, 14H 30 à BASTIA – Appel des communistes de Haute-Corse

Repris du blog de la section du PCF Cap Corse (lien): SNCM:Rassemblement mardi 25 novembre, 14H 30 à BASTIA

PLUS QUE JAMAIS  IL FAUT SOUTENIR LES MARINS, SEDENTAIRES ET OFFICIERS DE LA SNCM POUR DEFENDRE LE SERVICE PUBLIC DE CONTINUITE TERRITORIALE !
  RASSEMBLEMENT MARDI 25 NOVEMBRE,
 14H 30 SNCM ROND POINT NOGUES  à BASTIA

Le 12 novembre, le président du tribunal de commerce, et le procureur de la République ont exprimé des doutes sur le bien- fondé de l’action engagée par la direction de la SNCM.

En clair, la crainte est que l’actionnaire principal, TRANSDEV, ait engagé la procédure collective sans y être obligé. La  prudence justifiée du procureur et du président du Tribunal de commerce doit être sérieusement prise en compte par le gouvernement. L’Etat actionnaire de la SNCM a la possibilité de donner un coup d’arrêt à cette course vers l’abîme impulsée par les dirigeants de Transdev et de Veolia.

Le gouvernement peut et doit reprendre la main pour impose la  période d’observation de 6 mois et permettre que :

*la participation au capital de la CDC soit régularisée

*la réflexion sur le projet industriel reprenne

*l’attribution de la DSP soit maintenue au groupement CMN SNCM

Plus que jamais, il faut soutenir les marins, sédentaires et officiers de la SNCM . Ils se battent avec leurs organisations syndicales  dans un objectif d’intérêt général  pour le service public de continuité territoriale face aux tenants de la logique libérale dévastatrice du low cost.

Tour Triangle à Paris : les élus PCF parisiens doivent arrêter de s’enfoncer dans la docilité au social-libéralisme et de discréditer nationalement le Parti !

Vivelecpcf, 19 novembre 2014, rubrique « dans les fédérations »

Nous reproduisons ci-dessous le communiqué de la section du PCF du 15ème arrondissement de Paris où devaient, où pourraient encore, être construits 92.000 m2 de bureaux dans le cadre de l’opération immobilière « Tour Triangle » soutenue par la municipalité d’Anne Hidalgo.
Les camarades rappellent tous les arguments qui les ont conduits depuis le départ à combattre ce projet spéculatif. Ils l’associent à la politique générale poursuivie par Delanoë, avec Hidalgo comme adjointe à l’urbanisme, au service des promoteurs immobiliers dans les grandes zones d’aménagement de la capitale.
Ils dénoncent la manœuvre antidémocratique tentée par Hidalgo au Conseil de Paris lundi 17 novembre 2014 consistant à faire voter à bulletins secrets, c’est-à-dire à couvrir les votes éventuels d’élus qui auraient été soudoyés par tel ou tel lobby patronal. Ils analysent les raisons profondes du fiasco enregistré par la maire de Paris et les contradictions du patronat.
Les conseillers de Paris étiquetés PCF ont à nouveau agi d’une façon déplorable. Envers et contre tout, reprenant les arguments les plus hypocrites d’Hidalgo, pourtant balayés depuis le départ, ils se sont exprimés en faveur du projet du Medef-Paris. Ils ont laissé le quotidien le Parisien, dans son édition du 14 novembre, écrire que, mal à l’aise sur le fond du sujet, ils allaient voter derrière Hidalgo pour ne pas désavouer les élus PCF de la mandature précédente. Se montrer incapable d’assumer une position pour des motifs politiciens : lamentable !
Lorsqu’Hidalgo, en séance, a imposé avec les élus PS, le vote secret, les élus PCF se sont gardés de dénoncer la manœuvre et ont accepté de prendre part au vote, eux-mêmes qui ne jurent que par la « transparence » et la « démocratie participative » à longueur de réunion.
Certes il ne s’agit pas d’une petite affaire pour la municipalité : 500 millions d’euros, 60 fois le barrage de Sivens. Raison de plus !
L’alignement inconditionnel des élus PCF-Front de gauche à Paris sur le social-libéralisme leur a valu des sièges supplémentaires et des promotions aux élections municipales. Ce suivisme a été surmédiatisé et utilisé nationalement pour discréditer notre parti, l’action d’élus communistes, dans toutes les configurations, dans d’autres villes de France. Le sénateur PS honoraire Jean-Luc Mélenchon, parmi d’autres, s’en est saisi, lamentablement en ce qui le concerne, pour régler des comptes au sein du « Front de gauche ».
Les élus PCF de Paris sont-ils à ce point tenus par la reconnaissance du ventre, par l’opportunisme, pour continuer à exposer le Parti à ce discrédit, à cette humiliation ?
Nous considérons qu’il n’est que plus important de faire largement connaître l’opinion et l’action des militants communistes de terrain, ici ceux du 15ème, fidèles à la raison d’être de leur engagement.

Tour Triangle : le PCF Paris 15, outré par les procédés de la municipalité d’Anne Hidalgo, demande des comptes à la Porte de Versailles comme à Beaugrenelle 

Communiqué, PCF Paris 15, 17 novembre 2014

La section du PCF Paris 15 enregistre le vote négatif du Conseil de Paris, ce jour, par 83 voix contre 78, sur la délibération qui aurait permis l’édification d’une tour de bureaux de 92.000 m2 à la Porte de de Versailles dans le 15ème arrondissement.

Nous rappelons notre opposition totale, depuis le départ – voir nos communiqués et tracts successifs depuis 2009, à ce projet spéculatif, 60 fois plus coûteux que le barrage controversé de Sivens.

Le résultat du vote n’est pas pour nous surprendre. Il correspond aux intentions affichées des différents groupes politiques. Il correspond surtout, plus fondamentalement, au défaut de volonté réelle du promoteur Unibail de réaliser le projet. Unibail, via sa filiale Viparis, a pu bénéficier grâce à cette annonce, d’une reconduction, outrageusement avantageuse, par la municipalité de Paris, de la concession du Parc des Expositions. La construction d’une nouvelle tour de bureaux dans un secteur saturé s’est avérée d’une profitabilité douteuse. Voilà qui explique le revirement de la droite sur le sujet, au-delà de quelques préoccupations locales.

La municipalité d’Anne Hidalgo, soutenue par d’autres groupes de pression patronaux, dont le Medef Paris et des patrons du bâtiment, a cru pouvoir faire passer quand même son projet « emblématique » de son choix de plonger Paris dans la concurrence mondiale des capitales du capitalisme.

Les procédés retenus Anne Hidalgo nous affligent et nous scandalisent. Depuis des mois, des moyens publics sont gaspillés à faire la publicité du projet.

Au Conseil de Paris, elle a osé, avec les élus PS, recourir à un vote à bulletins secrets pour tenter de le faire passer. Pointilleuse jusqu’à l’extrême sur la démocratie participative lorsqu’il s’agit notamment du ramassage des déjections canines, Mme Hidalgo préfère le vote caché quand il s’agit d’un investissement de 200 mètres de haut et de 500 millions d’euros de coût ! Hidalgo a fait le pari de protéger les élus sensibles aux pressions, de les exonérer de leurs responsabilités  publiques. Quelle honte ! Quel mépris pour les Parisiens ! Elle a perdu. Cela ne nous empêchera pas de condamner la manœuvre pour l’avenir, pour la démocratie à Paris.

Les élus communistes de Paris, loin de se désolidariser, ont suivi Hidalgo. Cette situation, qui prolonge les lourdes ambiguïtés de l’alignement aux municipales, dès le 1er tour, sur les listes du PS, ne peut plus durer. D’une mandature à la suivante, les élus du groupe PCF-Front de gauche, derrière Ian Brossat, promu depuis par Hidalgo, ont repris les arguments les plus fallacieux et éculés pour justifier la Tour Triangle et les grands projets immobiliers capitalistes de la municipalité, envers et contre tous, sourds aux avis des militants de base. Nous n’arrivons pas à imaginer comment, ce matin, les élus PCF-FdG, ont pu accepter de participer à un vote secret pour faire passer un tel projet.

Communistes, nous n’acceptons pas, nous n’avons jamais accepté, que quelques élus nous fassent passer pour les « J’en croque » du social-libéralisme à Paris, et par extension, en France, au bénéfice de nos adversaires ou de partenaires malintentionnés.

Nous demandons le respect du vote du Conseil de Paris contre la Tour Triangle, l’assurance des élus PCF-FdG qu’ils ne céderont pas aux manœuvres administratives et judiciaires lamentables annoncées ce matin par Mme Hidalgo. Plus que jamais, nous demandons, l’ouverture dans le PCF d’un débat sur la politique immobilière de la municipalité Delanoë-Hidalgo.

Le dossier de la Porte de Versailles est indissociable de scandales restés tus, bien malgré nous, à, à peine un km de là. A Beaugrenelle le promoteur Gécina a enregistré une plus-value de 250 millions d’euros supérieure à ses propres attentes avec la cession du nouveau centre commercial. Le patron douteux du promoteur Apsys, Maurice Bansay, a vu du même coup sa fortune personnelle s’élever en une seule année de 180 millions d’euros grâce au projet encouragé par la municipalité et Mme Hidalgo. Tous cela aux dépens des habitants et des contribuables!

Les contradictions des promoteurs autour de la Tour Triangle peuvent et doivent conduire à une remise à plat complète des politiques de soumission à l’argent de la municipalité de Paris.

Les habitants du 15ème, les contribuables parisiens, les démocrates peuvent compter sur la probité et le travail des communistes du 15ème.

 

Sélection de nos interventions contre la Tour Triangle:

 

Novembre 2014: Réelle ou virtuelle, la « Tour Triangle » ne doit pas être la tour qui masque la politique de spéculation immobilière à Paris
Août 2013: La folie des hauteurs reprend à la Porte de Versailles.
Août 2011: Tour Triangle – « concertation » le 1er septembre – Nous confirmons notre opposition
Décembre 2009: Tour Triangle à la Porte de Versailles : le Medef transmet la folie des hauteurs aux élus parisiens !

Le PCF du Jarnisy avec les salariés en lutte de Leclerc

La section du PCF du Jarnisy était cette semaine aux côtés des salariés en lutte du Leclerc Jarny-Conflans mobilisés contre la répression syndicale dont sont victimes les militants de la CGT. Bel exemple de la présence du PCF au cœur des luttes et à l’entreprise, nous reproduisons ci-dessous l’article de la section, ainsi que la brève du journal régional Le républicain lorrain.

L’article de la section du PCF du Jarnisy du 08 novembre 2014 :

Soutien aux salariés de Leclerc Jarny-Conflans

SOUTIEN AUX SALARIES DE LECLERC JARNY-CONFLANS

Samedi 8 novembre dès 8 heures, à l’initiative de la CGT, un tract a été distribué devant l’enseigne Leclerc pour dénoncer le harcelement moral et la répression syndicale de la part de la direction à l’encontre des délégués et militants CGT. Une pétition circulait également, un grand nombre de clients y ont apposé leur signature en étant solidaire de cette action.

Une vingtaine de camarades de la section PCF du Jarnisy, des agents SNCF, du personnel de la Sovab, l’Union locale d’Homécourt, ainsi qu’André Corzani Maire de Joeuf et Conseiller général de la Meurthe et Moselle étaient présents pour soutenir le personnel de Leclerc.

Vers 8h30, le personnel a reçu la visite de la police et aux environs de 9h30 la Direction de Leclerc a infiltré un Huissier de Justice sur les lieux pour prendre des photos et les noms des personnes présentes, en espérant ainsi décourager les militants de leur action. Mais ceux-ci sont restés sereins en ne rentrant pas dans cette provocation. Nous ne pouvons que les féliciter.

D’autres actions sont d’ores et déjà prévues par les salariés et leur organisation syndicale CGT.

L’article du Républicain lorrain du 08 novembre 2014 :

Salariés CGT, militants extérieurs et sympathisants. Une quarantaine de manifestants se sont réunis ce matin. Photo Fred LECOCQ

Leclerc : la CGT en colère

Trois semaines après le mouvement d’humeur des agriculteurs, le centre E. Leclerc de Conflans était hier dans le viseur d’autres manifestants. Cette fois, ce sont des salariés affiliés à la CGT, soutenus par des adhérents extérieurs, qui ont exprimé leur mécontentement. Ils accusent la direction de licenciement abusif à l’encontre d’une déléguée du personnel et parlent de discrimination syndicale. « Pure diffamation », répond le patron de l’enseigne.

La CGT estime ne pas être logée à la même enseigne

La dizaine de salariés présents a pu compter sur la venue de syndicats CGT extérieurs ainsi que sur la présence du PCF de Jarny. Tous ensemble, ils ont recueilli 627 signatures sur leur pétition, à défaut d’avoir rencontré le patron de l’enseigne conflanaise.

Tous ensemble, une quarantaine de militants CGT et leurs sympathisants ont manifesté hier matin devant les portes du centre Leclerc de Conflans. Ils s’opposent au licenciement d’une des leurs et parlent de discrimination syndicale.

« Vous voulez bien signer ? C’est contre le licenciement abusif d’une salariée », demande cette manifestante à un couple qui s’apprête à rentrer dans le magasin avec son bébé. La dame reçoit une fin de non-recevoir. D’autres, en revanche, sont bien plus réceptifs, prennent les tracts tendus par les gilets jaunes et rouges de la CGT ou signent leur pétition. « Heureusement que les syndicats sont là. Sans eux, on n’aurait jamais eu d’évolution dans le droit du travail », souffle Louisa, une employée de mairie d’une commune voisine, avant de s’engouffrer à l’intérieur du centre Leclerc pour y faire ses achats.

Une condamnation en faveur des salariés

En ce samedi matin à Conflans, ils sont plusieurs dizaines de manifestants à s’exprimer tous ensemble ou à se relayer (soit, en tout, une quarantaine de personnes au moment de faire les comptes en fin de matinée). Dès 8h30, militants CGT et sympathisants se sont réunis devant les portes de l’enseigne pour déclarer leur indignation contre une procédure de licenciement en cours : celui de Sylvie Navacchi, 49 ans dont 32 au sein du magasin conflanais. Responsable du pôle comptabilité fournisseurs. Et aussi déléguée CGT. Comme les treize autres (sur quinze élus) siégeant aux diverses instances représentatives du personnel au sein de l’hypermarché.

« On m’accuse d’avoir agressé verbalement et physiquement la DRH lors d’une réunion du CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) , en mars 2013. Mais je n’ai rien fait, ce sont des accusations sans fondements. » La principale concernée, entourée de ses amies, d’une dizaine de collègues et de salariés extérieurs, voit son propos appuyé par… la condamnation de la DRH par le tribunal correctionnel de Metz : récemment, celle-ci a écopé d’un mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse. « Mais elle a fait appel. Quant à moi, je suis revenue travailler après un arrêt maladie de sept mois. Mais je suis à mi-temps thérapeutique. » Sylvie a effectivement pu reprendre le travail malgré la procédure de licenciement toujours en cours. « Comme je suis déléguée syndicale, la direction ne peut pas me virer comme ça : elle doit avoir l’accord de l’inspection du travail. Cette dernière a refusé mon licenciement. Un refus confirmé par le ministère du Travail », se félicite Sylvie.

Leclerc n’a pas pour autant déposé les armes : le magasin vient de faire appel devant le tribunal administratif. D’où la colère des manifestants qui parlent, plus globalement, de « discriminations, de menaces permanentes, de sanctions injustifiées, de licenciements abusifs ou encore d’absences de promotion », à l’égard des salariés syndiqués. « Et plus particulièrement à l’encontre de ceux affiliés à la CGT ». « Nous voulons que la direction nous respecte », conclut Régine Gœuriot, autre membre du syndicat et conseillère prud’hommes.