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Hommages à Nelson Mandela: tant d’hypocrisie! (suivi du texte du discours de bienvenue de Georges Marchais le 7 juin 1990)
Vivelepcf, 6 décembre 2013 – (Le discours de Georges Marchais du 7 juin 1990 est reproduit en bas de page)
L’hommage à la mémoire de Nelson Mandela est unanime. Mais les condoléances n’ont rien de sincère quand elles proviennent des dirigeants des puissances qui défendirent jusqu’au bout l’Etat raciste sud-africain de l’Apartheid, Etats-Unis, Royaume-Uni, même Israël, ou encore d’une France si réticente à le boycotter. En 1988, Reagan plaçait le nom de Mandela sur la liste « noire » des « terroristes » à surveiller. Il y est resté jusqu’en 2008…
Ces pleurs n’ont pour but que de noyer, sous un humanisme vague, la nature du long combat du héros, du symbole, national et mondial, de la lutte contre le racisme, le colonialisme établis par l’ordre capitaliste.
Il faut faire oublier les conditions de ce combat politique qu’il a impulsé, passant tour à tour par la non-violence, la lutte armée, la résistance, y compris depuis les geôles sordides de l’Apartheid.
Il faut faire oublier le rôle de ceux qui portèrent ce combat avec Mandela dans l’ANC et notamment les communistes sud-africains et les syndicats d’inspiration révolutionnaire.
Il faut faire oublier l’élan de solidarité internationale, dont la résistance de Mandela a été le point de convergence. Le camp socialiste, Cuba, les communistes du monde entier, en France le PCF et la Jeunesse communiste, en ont été au tout premier rang. La lutte contre l’Apartheid a été un aspect de la bataille de classe mondiale.
Jusqu’au bout de son action politique, après sa libération en 1990, Mandela, lui, n’a pas oublié. Il a conservé la même confiance fraternelle, la même sympathie politique, pour les communistes et le mouvement syndical de son pays. Il n’a cessé d’exprimer sa reconnaissance aux premiers soutiens de sa lutte. Libre, puis président de son pays, il a mis le rayonnement mondial de sa personnalité au service de la poursuite du même combat émancipateur, en exprimant par exemple sa solidarité avec le peuple palestinien.
Le capitalisme sud-africain, les forces de l’impérialisme ont enregistré une défaite dure à digérer. Ils ont tout fait pour que, lorsque tout change, rien ne change dans le fond. Ils ont dû faire le deuil du racisme d’Etat, mais ont pu éviter tout changement décisif de structure de propriété. Depuis les années 90, une bourgeoisie noire s’est considérablement développée, un prolétariat et un sous-prolétariat blancs relativement aussi. Les inégalités sociales restent béantes. La démocratie se heurte à la domination du capital, traduite notamment par la corruption.
Le 20 avril 1964, au dernier jour de son procès, Mandela exprimait pour la dernière fois publiquement avant sa libération 25 ans plus tard les justifications de la lutte armée : « Je me suis battu contre la domination des blancs et je me suis battu contre la domination des noirs. J’ai toujours mis en avant, comme idéal, une société libre et démocratique. C’est un idéal pour lequel je voudrais vivre mais pour lequel, s’il le faut, je suis prêt à mourir ».
Il a réalisé ce pas de géant dans l’histoire. Dans la mémoire de l’action de Nelson Mandela, les travailleurs, noirs et blancs, le peuple sud-africain, les autres peuples, trouveront les forces de continuer un combat émancipateur qui ne fait toujours que commencer.
Nous reproduisons ci-dessous l’allocution de bienvenue prononcée par Georges Marchais, secrétaire général du PCF, le 7 juin 1990, à l’occasion de la visite de Nelson Mandela au siège du PCF.
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Le MJCF condamne l’intervention au Mali
Extrait des voeux de Nordine Idir, secrétaire national du Mouvement de la jeunesse communiste de France, 14 janvier 2013
« Je tiens au nom du MJCF à exprimer ma plus vive condamnation de l’offensive lancée par nos autorités au Mali pour « lutter contre le terrorisme », digne des heures les plus sombres de la Françafrique. Mais de qui se moque-t-on ? Nous connaissons ce discours nauséabond et dangereux du choc des civilisations qui justifie les interventions armées pour les intérêts des multinationales ! Pas de guerre au nom de la liberté pour faire couler le sang et les dollars pour Areva, Total ! Notons le passage en force de cette intervention armée sans mandat international ni vote au Parlement. Chacun connaît la véritable crise que connaît ce pays : c’est la misère que connaît ce peuple dans l’indifférence générale qui a connu les plans d’ajustement structurel du FMI, doux nom pour désigner les politiques d’austérité et de privatisation depuis plus de 20 ans. Voilà le véritable terreau à l’extrémisme, financé au passage par les pétromonarchies amies de nos gouvernements. »
Agression fasciste contre de jeunes communistes à Grenoble – Communiqué de la JC 38
La section du PCF de Saint-Martin-d’Hères nous transmet le communiqué de la JC 38. Pour leur part, les communistes de Saint-Martin-d’Hères, comme nous tous, condamnent fermement d’agression de jeunes communistes, le 19 octobre, par un groupe d’extrême-droite habitué à rôder dans le quartier de la gare de Grenoble. Cet acte anticommuniste se produit dans le contexte inquiétant de publicité pour des groupuscules d’extrême-droite et pour des partis d’extrême-droite. Le capitalisme s’efforce de détourner la colère populaire vers l’extrême-droite. Ne laissons rien passer ! Soyons plus vigilants que jamais, plus communistes que jamais !
« Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde. » Bertold Brecht
Communiqué de presse du MJCF 38 suite à la violente agression pour des raisons politiques :
Vendredi 19 octobre à 23h, six jeunes communistes ont été agressés une première fois par un groupe se revendiquant ouvertement d’extrême-droite alors qu’ils sortaient du local de la Fédération de l’Isère du Parti communiste français aux abords de la gare.
A 23h30 les militants des Jeunesses communistes ont subi une deuxième agression en tombant dans un véritable guet-apens tendu par une quinzaine d’individus d’extrême-droite armés de barres de fer, de matraques et d’autres armes, aux abords du « D’enfer Pub », rue Denfert Rochereau.
Suite à ces agressions, un militant communiste a été blessé au visage et s’est également fait dérobé ses papiers d’identité. Les menaces de morts proférées, accompagnées de nombreuses insultes racistes ne font que confirmer le danger que représentent les idées d’extrême-droite.
Ces agressions s’ajoutent à la longue liste des méfaits perpétrés depuis plusieurs années à Grenoble à l’encontre de nombreuses organisations de gauche. La Fédération de l’Isère du MJCF condamne les agissements des groupuscules fascisants qui sévissent, dans une certaine impunité en Rhône-Alpes et en Isère.
Nous réaffirmons avec force notre détermination à ne pas céder aux intimidations et agressions de groupes fascisants. Nous continuerons à mener le combat politique qui est le nôtre.
Une plainte a été déposée et nous ferons tout pour obtenir une réponse ferme de la part des pouvoirs publics condamnant ces agissements.
A l’heure où l’extrême-droite tend à être banalisée par le monde politique ; ces événements confirment la dangerosité de l’extrême droite pour la vie démocratique.
Les Jeunes communistes réaffirment avec force que céder à la haine, à la xénophobie et au nationalisme ne mènerait qu’à la division populaire. L’unité et la solidarité face à la crise sont aujourd’hui plus que nécessaires.
Fédération de l’Isère du Mouvement des Jeunes Communistes de France
Grenoble, dimanche 21 octobre 2012
PS :
Construire la riposte pour battre la droite et l’extrême droite, la section de Saint-Martin-d’Hères met à disposition deux textes à lire :
http://www.pcf-smh.fr/Nous-nous-eng…
http://www.pcf-smh.fr/Faisons-recul…
Les JC des Bouches-du-Rhône réfléchissent sur le socialisme.
Les JC des Bouches-du-Rhône réfléchissent sur le socialisme.
La direction du MJCF organisait le 12 novembre 2011 un débat interne sur le socialisme.
Les Jeunes communistes des Bouches-du-Rhône, avec de nombreuses autres fédérations, ont porté au dernier congrès de la JC l’exigence de clarification de notre projet révolutionnaire. Nous avons mis en avant l’actualité du socialisme, qui a été intégrée dans la résolution de congrès comme « phase transitoire ». Aujourd’hui, il est nécessaire que toute l’organisation s’approprie cet objectif et le lie avec toutes nos luttes.
Le texte qui suit synthétise nos débats préalables à la journée du 12 novembre.
1. Validité théorique du socialisme – nécessité de l’analyse des expériences socialistes
Le capitalisme a fait son temps. Ses crises, qui sont parties intégrantes du système, se reproduisent à un rythme de plus en plus rapproché. Elles sont de plus en plus destructrices. Elles affectent maintenant la quasi-totalité de la planète. Dans le même temps, la socialisation (capitaliste) de la production est portée objectivement à un niveau jamais atteint.
Pour autant, il serait naïf de penser que le capitalisme va tomber tout seul, du simple fait de la nécessité historique, céder la place progressivement à un autre système de production. L’expérience nous montre au contraire qu’il sait se régénérer de ses propres crises.
Il y a vingt ans, forts de la victoire de la contre-révolution à l’est, le capitalisme et l’idéologie dominante enterraient le socialisme et affirmaient leur « pensée unique ».
Aujourd’hui, l’exigence d’une transformation radicale de la société revient en force. Mais le système met tous ses moyens pour contrôler, encadrer sa propre contestation, pour étouffer la perspective du socialisme.
Le réformisme s’évertue ainsi à nier la notion de rupture. Pour nous communistes, la rupture révolutionnaire est la perspective nécessaire et le socialisme est son nom.
Certains mouvements de « gauche » envisage un « altercapitalisme », un capitalisme plus « humain ». C’est impossible. Un objectif comme celui d’un « meilleur partage des richesses » fait accepter la part du capital et légitime le système lui-même.
Dans nos rangs, le débat doit être poussé sur l’utilisation de la notion marxiste de « dépassement du capitalisme » qui ne doit pas être détournée pour nier l’exigence révolutionnaire.
En rétablissant le socialisme comme « phase transitoire », notre dernier congrès s’est heureusement démarqué d’une autre conception fausse, celle du « communisme tout de suite ». Le formidable développement des techniques avec le capitalisme ne conduit pas mécaniquement à la société d’abondance répondant aux besoins. La domination de classe de la bourgeoisie, pluri-centenaire, ne s’effondre pas d’un coup. L’existence transitoire d’un Etat socialiste, d’une planification socialiste est nécessaire.
Le capitalisme est plus que jamais le mode de production dans notre société. Il a étendu, intensifié sa domination sur les peuples mais il n’a pas changé de nature. Nous devons rejeter les assertions selon lesquelles le « monde aurait changé » et donc que le socialisme que les communistes ont défendu au 20ème siècle serait obsolète.
Plus que jamais, au fondement du capitalisme se trouve la propriété privée des moyens de production et d’échange. Plus que jamais, l’appropriation collective par les travailleurs des principaux moyens de production et d’échange, c’est-à-dire le socialisme, est notre perspective de rupture révolutionnaire. Elle ne se confond pas avec les nationalisations en système capitaliste (que nous défendons selon les rapports de force). Elle ne se confond pas avec l’étatisme.
La notion de « socialisme », profondément ancrée dans la mémoire des travailleurs, revient également en force. C’est une chance historique. Cette théorie est la seule qui a permis, à partir de 1917, de mettre à bas le capitalisme. Cette vérité est essentielle.
A notre niveau, il est de notre responsabilité de ne pas la laisser dévoyer, de réaffirmer clairement les fondamentaux du socialisme.
Certaines des principales organisations de la collaboration de classe continuent à s’appeler « socialistes ». D’autres penseurs de « gauche » n’hésitent pas à s’approprier le terme, une fois vidé de son sens. C’est un danger que nous devons à tout prix éviter dans notre organisation.
Après 1989, dans le mouvement communiste, la tentation a été grande de plier devant l’idéologie dominante, de pratiquer une sorte « d’autophobie », se traduisant par un rejet total ou par l’indifférence vis-à-vis des expériences socialistes. Cette position révisionniste peut s’allier aujourd’hui, en contradiction apparente, avec une célébration des aspects les plus superficiels de l’histoire de nos organisations et des expériences socialistes : un folklore révolutionnaire cachant l’absence de théorie et de pratique. Notre mouvement doit clairement condamner ces deux travers.
Lors de la préparation de nos précédents congrès, nous avons constaté que notre analyse des expériences socialistes issues de 1917, dans leur diversité, d’abord de celle de l’URSS, restaient grandement à faire, d’un point de vue communiste. Cette question doit être mise à l’ordre du jour du MJCF.
Dans le feu de l’histoire, tout en poursuivant notre propre réflexion critique, l’expression de notre solidarité, sans réserves, avec les expériences socialistes actuelles, notamment en Amérique latine, en premier lieu à Cuba, est aussi une obligation politique.
Dans le mouvement communiste français, on est passé progressivement de l’évidence de la perspective socialiste à son éviction totale. Pousser le débat dans nos organisations sur cette question essentielle est absolument nécessaire.
La référence théorique du marxisme-léninisme, matrice historique de nos organisations, ne peut pas être abandonnée sans autre forme de procès. Nous devons envisager notre rapport à cette théorie comme étant à actualiser, non pour la revisiter, mais pour rendre cette grille d’analyse lisible dans les conditions actuelles.
Dans l’idée d’actualisation et d’appropriation par les camarades de la perspective du socialisme, nous refusons de tomber dans un débat technique et économiste. L’objectif du socialisme ne doit pas être posé comme une question économique mais comme un choix politique. La question centrale est celle du pouvoir, du passage du pouvoir des mains d’une classe à une autre.
Quelles sont les voies possibles vers le socialisme en France ? A quelles exigences d’organisation répond l’objectif du socialisme ? C’est un enjeu majeur de la période.
2. Voies vers le socialisme en France
Le mouvement communiste français (PCF et MJCF) a engagé depuis des décennies la réflexion sur les voies menant au socialisme en France. Cette réflexion a été interrompue dans les années 90. Il faut qu’elle reprenne, sous peine de voir nos organisations continuer à se fondre dans la « démocratie » bourgeoise et ses institutions.
L’exemple de la Russie de 1917 ne s’est pas reproduit. Pourtant, la constitution des Soviets, l’intervention du Parti bolchévik en leur sein, cette forme de démocratie à la base, l’issue révolutionnaire qu’ils ont permise doivent continuer à être analysées dans nos organisations.
Notre lecture de classe de la société est essentielle dans notre conception du rassemblement et de notre parti pour le socialisme.
Si « 99% » de la population ont intérêt à la chute du capitalisme et à l’avènement du socialisme, ce n’est pas au même point, dans les mêmes conditions de prise de conscience de classe. La notion abandonnée de parti d’avant-garde doit être reconsidérée. La raison d’être des organisations communistes de se tourner vers la classe ouvrière (au sens large), la priorité à l’entreprise, restent valables.
Notre pratique politique, dans la JC, doit découler de cette analyse de classe. L’articulation entre nos campagnes, les revendications immédiates et notre projet de société doit être au centre de nos préoccupations.
Notre conception de l’union et de l’unité des travailleurs dépend de cette analyse de classe. Elle ne peut être confondue, comme c’est trop souvent le cas aujourd’hui, avec des alliances électorales.
Quels partis ou mouvements représentent réellement, en dehors des nôtres, la classe ouvrière, les couches intermédiaires ? Comment les organisations communistes peuvent jouer de leurs contradictions pour les amener à une perspective révolutionnaire ?
La stratégie de nos organisations, les alliances, pour aller au socialisme ont varié selon les périodes, l’état du rapport de force. Lors de notre réunion préparatoire, nous avons évoqué deux expériences très différentes : le Chili d’Allende et la « gauche » de Mitterrand en 1981. Elles méritent une analyse complète. Elles ne sont évidemment pas comparables.
Le gouvernement d’Allende, soutenu par le Parti communiste chilien avait pour objectif clair le socialisme. A son arrivée au pouvoir, il nationalise des pans entiers de l’économie et mène une politique en faveur des travailleurs. Cela a représenté un danger immense pour les intérêts des impérialistes qui ont fait payer à Allende et au Chili le prix fort. Mais nous pouvons dire que si Allende et la social-démocratie Chilienne voulait du socialisme, elle ne voulait pas de la révolution. Dans ce sens, elle n’a pas répondu aux appels du parti communiste qui demandait l’armement du peuple pour garantir le pouvoir des travailleurs. Cette distinction, cette contradiction, est cruciale à analyser dans nos rapports avec d’autres organisations qui disent vouloir le socialisme.
L’expérience du gouvernement de « gauche » après 1981 en France n’a évidemment rien à voir. Mitterrand et le PS ont utilisé l’Union de la gauche, le Programme commun, puis sa rupture pour affaiblir le PCF. Le socialisme n’a jamais été leur objectif, comme le « tournant libéral » dès 1983 l’a trahi. Les suites de 1981 ont été désastreuses pour les travailleurs de France, en termes de reculs sociaux, économiques et politiques.
Du côté des organisations communistes, le bilan n’a toujours pas été tiré de cette stratégie. Elle a été reproduite, en pire encore, dans la gauche plurielle après 1997 avec pour conséquence un affaiblissement sans précédent. La question est plus que jamais posée aujourd’hui : pourquoi rechercher une union de la petite gauche d’un côté et une nouvelle union de la gauche de l’autre avec des « partenaires » si éloignés de toute perspective socialiste ?
En 2011, le mouvement communiste français reste à la croisée des chemins. Il ne peut pas s’exonérer de la réflexion sur le socialisme, d’un débat ouvert, contradictoire, ancré dans la réalité du mouvement de classe. Sans reconsidération de la perspective socialiste, le risque se précise de finir de perdre l’acquis historique du mouvement communiste, de tomber dans le réformisme européen (PGE, CES, ENDYL, …) tel que l’idéologie dominante le construit.
Cette réflexion ne peut se limiter à la France. Une des priorités réside dans l’échange la coordination des organisations communistes au plan international. Le débat sur la perspective et les voies pour le socialisme est traverse l’ensemble du mouvement communiste international.
Confrontés à une offensive extrêmement violente du capital, les partis communistes de Grèce ou du Portugal font face. Ils ne s’exonèrent pas d’une réflexion de fond sur leur conception du socialisme en regard de l’histoire du mouvement communiste international. C’est le cas tout autant de leurs organisations de jeunesse. Le MJCF doit s’inspirer davantage de ces démarches.
Ce texte n’a pas pour vocation de fixer une position définitive, il est une piste de réflexion. Plus notre organisation se renforce, grâce à notre activité militante, plus l’exigence de préciser notre projet de société socialiste se fait grande.