Ayrault et Peillon aggravent leur cas, encore. Ils restent sourds à la protestation massive de toute la communauté éducative devant leur changement des rythmes scolaires, marquée dernièrement par le succès de la grève du 14 novembre (voir notre dernier article).

Mais, devant la protestation des municipalités – légitime puisqu’on les prive des moyens de financer les nouvelles activités périscolaires -, ils ne manquent pas l’occasion d’aggraver leur contre-réforme.

(Lire la suite…)