L’argument phare de Hirsch pour justifier son plan était la « sauvegarde de l’emploi ». Il a dû le mettre en sourdine tellement c’est absurde en termes d’organisation du travail. Supprimer des jours de repos, intensifier la journée de travail amènent à supprimer des postes et non à en « sauvegarder ». Les RTT en 2002, justement, auraient dû conduire à des créations d’emploi si elles n’avaient servi, déjà, qu’à augmenter l’exploitation et dégrader les conditions de travail.