PCF – 38ème CONGRES: reconstruisons le parti de classe!

Comment manipuler le congrès « extraordinaire »du PCF pour que rien ne change : l’expérience de la fédération de l’Aisne

Comment manipuler le congrès « extraordinaire »du PCF pour que rien ne change : l’expérience de la fédération de l’Aisne. Nos sections déterminées à renforcer le Parti, avec, sans ou malgré les directions qui se disqualifient.

 

Déclaration des représentants des sections du PCF de Saint-Quentin, Gauchy et Val d’Origny, 9 novembre 2018

A la veille de la deuxième des trois séries de congrès départementaux, avant le congrès national des 23, 24 et 25 novembre, nous voulons témoigner largement des pratiques des directions sortantes du PCF, à partir du congrès de la fédération de l’Aisne qui se déroulait le 3 novembre.

En un mot, notre expérience est la suivante : plus la ligne des dirigeants – nationaux et départementaux – est disqualifiée (désastre des élections de 2017), plus leurs places sont menacées, plus ils bâillonnent l’expression des communistes, plus ils bafouent la démocratie, plus ils se réfugient dans l’autoritarisme administratif.

Dans l’Aisne, la consultation des 4, 5 et 6 octobre sur les textes a donné 59% pour le texte n°4 « Reconstruire le Parti de classe – Priorité au rassemblement dans les luttes », avec des voix provenant largement de nos sections, mais pas uniquement (voir notre adresse à tous les communistes de l’Aisne). Les motions issues des groupes dirigeants sortants ont obtenu 21%, 5% et 15%. Les 256 voix correspondant à ces 59% sont incontestables et incontestées. La qualité de cotisants de nos votants a été vérifiée de façon obsessionnelle par les faisant-office de direction départementale (sans réciproque sur leurs listes). Le secrétaire départemental, nouvellement élu, a même tenté de faire abjurer certains camarades, par des messages et appels intrusifs, récoltant la colère de ceux-ci, le discrédit général, comme un jardinier maladroit qui marche sur un râteau.

Malgré cela, les militants ayant opté pour le texte 4 et nos sections se sont trouvés réduits, de 59%, à 25% des délégués du conseil départemental (11 sur 42), à 17% de la délégation au congrès national (1 sur 6), à … 0% du nouveau conseil départemental (0 sur 25) !

Comment est-ce possible ? A défaut de soutien majoritaire des adhérents, poussées dans leur retranchement, les directions sont inventives en entourloupes bureaucratiques. Elles n’ont pas peur du discrédit politique quand il s’agit de s’accrocher à des places.

Dans l’Aisne, le calcul a consisté à établir des délégations sous-représentant outrageusement la section de Saint-Quentin, de loin la plus nombreuse et la plus dynamique. La direction a ainsi décrété qu’on passerait de 1 délégué de droit + 1 délégué par tranche de 10 cotisants (règle à tous les congrès précédents) à 2 de droit et 1 supplémentaire pour 20 cotisants. Ce calcul baissait déjà notre représentation de 55% à 40%.

Dans la peur que cela ne suffise pas à étouffer les choix majoritaires des communistes axonnais, les faisant-office de direction sortante (après démission du secrétaire en 2017 et de la trésorière en 2016) ont décidé unilatéralement de prendre comme référence les cotisants, sur 12 mois, de janvier à décembre 2017. Ce subterfuge, ignorant la souveraineté des communistes définies dans les statuts du Parti, et les votes, par section, d’octobre 2018, leur permet de baisser arbitrairement, sans vérification possible (aucun fichier 2017 n’est disponible pour la fédération) le nombre d’adhérents de la section de Saint-Quentin de 223 à moins de 180 et donc le nombre de délégués de 14 à 11.

Pour enfoncer le clou, dans la panique, les faisant-office de direction refusent de reconnaitre pour le congrès, sur cette base 2017, les sections de Gauchy et du Val d’Origny, pourtant jamais contestées jusqu’alors et dont la recréation venait d’être actée en 2017.

Voilà comment passer de 256 adhérents-cotisants sur 3 sections, représentant 55% du département, à la prise en compte de 180 adhérents-cotisants sur une seule section et 11 délégués représentant 25% du congrès.

Voilà comment une minorité peut étouffer une large majorité, sur le champ bureaucratique et s’auto-désigner dirigeante pour se répartir les places. Pour l’élection du conseil départemental, ce groupe s’est divisé entre ceux qui jugeaient plus adroit de maintenir un alibi de démocratie avec quelques représentants de nos sections et ceux qui craignent la présence, ne serait-ce que d’un seul témoin, non affilié, au CD dans la période qui s’ouvre. La faiblesse et la peur des seconds l’ont emporté.

Devant ce coup de force anti-démocratique, conscients que, très au-delà de l’Aisne, le verrouillage du congrès menace l’avenir de notre Parti, nous avons largement alerté les communistes du reste du pays via une lettre ouverte.

Nous avons interpelé les membres du Conseil national obtenant un seul soutien et deux demandes d’infos complémentaires… Nous nous sommes adressés personnellement à Pierre Laurent et Fabien Roussel (voir courrier à Pierre Laurent et Fabien Roussel), candidats rivaux au poste de secrétaire national. Sans réponse, pour l’instant : nous les attendons et les espérons toujours. C’est un des objectifs de cette déclaration.

En attendant, la direction exécutive nationale sortante a choisi lamentablement le parti des fantoches de l’Aisne et la négation de l’expression démocratique des communistes.

Devant le coup de force dans notre fédération, nous avons pris la responsabilité de saisir les tribunaux en référé avant le congrès départemental. La fédération n’ayant pas de personnalité juridique, nous avons dû assigner la direction nationale. De fait, elle se trouvait en situation d’arbitrer. Elle a choisi, comme, ensuite, sa représentante au congrès départemental, les minoritaires, les fantoches. C’est grave et cela concerne tout le Parti nationalement.

Au nom de la direction nationale, son avocat a bien tenté de la défausser de la situation dans l’Aisne : en vain, comme il le savait. Mais, au nom e la direction ensuite, il a dévié le débat dans le sens des fantoches de l’Aisne, sur le statut de nos sections de Gauchy et du Val d’Origny à la date de la convocation du congrès en 2017. Le juge des référés, avec les éléments qu’il avait, a estimé être dans l’impossibilité d’établir l’existence de ces sections à cette date. Mais son jugement – en référé, c’est-à-dire dans l’urgence et non sur le fond – ne se prononce pas explicitement sur la prise en compte statutaire de la souveraineté des communistes à la date de novembre 2018, ni sur la fixation des délégations, ce qui n‘était sans doute pas de sa compétence. (notre déclaration)

En somme, nous ne gagnons pas le procès en référé mais la direction nationale du Parti sort encore davantage disqualifiée. Dans l’Aisne, la direction départementale avait elle-même validé la renaissance des sections de Gauchy et du Val d’Origny, leur demandant d’ouvrir un compte bancaire, ce qui a été fait. Nationalement, tous les adhérents impliqués savent comment sont définis les bases de représentations des sections et les effectifs cotisants de référence (octobre 2018).

Dans l’Aisne, il est moins question pour nous que jamais de laisser des directions autoproclamées liquider davantage le Parti. Poussée dans ses retranchements, la direction nationale sortante s’enfonce. Son intervention tendancieuse et néfaste pour le Parti dans l’Aisne reflète une réalité nationale que nous voulons dénoncer.

L’envoyée de la direction nationale pour superviser le congrès du PCF 02 et soutenir les fantoches, est une secrétaire à l’orga nationale et une membre, en même temps, de la « commission de transparence » du congrès qui a décidé de ne pas envoyer aux adhérents les textes sur lesquels ils devaient voter en octobre. Chapeau à ces « démocrates » !

A cette phase du congrès national, de multiples violations de l’expression démocratique des communistes dans les fédérations ressortent. Nous appelons à les rendre publiques et les lister.

Ce qui constitue, peut-être, la pire entourloupe, pour flouer les communistes, est la mise en avant de la tête de liste virtuelle Brossat pour les élections européennes sur une ligne de résignation à l’UE du capital compatible avec une recomposition politicienne tout azimut avec les Maastrichiens, pro-UE, Hamon, Glucksmann, à terme Mélenchon à nouveau. Tout cela s’opère en doublant les communistes en plein congrès.

Cette stratégie de négation des positions communistes apportera peut-être quelques places à quelques-uns mais finira d’écraser ce que représente le PCF dans la lutte des classes en France.

Communistes de Saint-Quentin, de Gauchy et du Val d’Origny, nous n’avons pas – moins que jamais – l’intention de laisser faire. Au contraire, nous continuons à multiplier nos interventions dans les luttes locales, dans les entreprises, les quartiers et les villages (voir nos journaux et nos sites internet) pour que la colère populaire, loin des diversions politiciennes, des récupérations populistes, s’organise pour faire prévaloir l’intérêt immédiat des travailleurs dans une perspective de rupture révolutionnaire, celle que le PCF doit porter ! Celle qui a apporté à notre pays ses services publics, sa sécurité sociale, son droit du travail…

L’avenir du Parti communiste dans l’Aisne commence demain : avec le repas fraternel de la section de Gauchy ! Un repas, à la veille du 11 novembre 2018, dédié à la lutte contre la guerre impérialiste, pour la sortie de la France de l’OTAN, pour la baisse des crédits militaires, l’augmentation des dépenses sociales.

SIGNEZ ET FAITES SIGNER LA PETITION !

Les premiers signataires de la déclaration :

Pour la Section de Saint-Quentin

Corinne Bécourt, Secrétaire de Section

Serge Carrier, Serge Casier, Alice Gorlier, Franck Mousset, Olivier Tournay, Jean-Luc Tournay, Grégory Plé, Alice Gorlier, Aurélien Jan, Barbara Knockaert, Suzanne Barbaux, Frédéric Joube

Pour la Section de Gauchy

Michèle Gabert, secrétaire de Section

Jean-Jacques Gabert, Francis Guezou

Pour la Section d’Origny

Gauthier Ducos, secrétaire de Section

Anthony Jan

Fédération PCF 02 : Aurélien Gall tente sournoisement de confisquer le pouvoir – Déclaration du bureau de section du Val d’Origny

Lors de la consultation sur les textes de congrès, dans l’Aisne, le texte « PCF : reconstruire le Parti de classe… » arrivait en tête avec près de 60% des voix. Trois sections dans le département défendaient ouvertement ce texte : Saint-Quentin, Gauchy et Val d’Origny. Elles représentent à elles seules 55% des adhérents du département. Par une basse manipulation des règles de calcul pour la représentation au congrès départemental par les « faisant office » de direction (le secrétaire et la trésorière ont démissionné courant 2017), les défenseurs de ce texte passeraient de 60% à environ 25% de délégués au congrès. Aurélien Gall, nommé « coordinateur départemental » par la direction nationale, tente avec quelques autres personnes, d’évincer les communistes, allant jusqu’à nier l’existence des sections de Gauchy et du Val d’Origny. Voir la lettre commune des 3 sections à Pierre Laurent et à Fabien Roussel ici.

Nous reproduisons ci-dessous la déclaration du bureau de section des communistes du Val d’Origny.

Nous avions rendez-vous pour la réunion des candidatures pour le congrès départementales de l’Aisne du 3 novembre au siège de la la fédération à tergnier, ce lundi 22 octobre ! Notre secrétaire de Section, Gauthier Ducos, s’est rendu sur place pour représenter la section du Va d’Origny. Aurélien Gall a annoncé dès le début de la réunion la non reconnaissance de notre section pour une délégation au prochain congrès du 3 novembre !

Notre section a été créé dans le respect des statuts du PCF ! Création en AG en 2016 avec les camarades du Val d’Origny, réunions pour recréer une activité militante régulière, création de tracts pour dénoncer la délocalisation d’une partie des salariés du site de Tereos à Origny Ste-Benoite vers le site de Moussy le vieux, réunions publiques avec le parti communiste belge, Emmanuel Dang Tran (membre du CN), des agriculteurs et des salariés subissant la fin des quotas sucriers. Nous avons versé nos cotisations dont une partie a été remise en personne à Aurélien Gall (interim secrétaire fédéral) lors d une rencontre en septembre 2017 au siège de la section de St Quentin (nous avons toujours le PV signé). La section du Val d’Origny a voté sur la consultation du texte du congrès, le PV est d’ailleurs signé par Aurélien Gall. La secrétaire ADF nous a envoyé la liste où nous sommes reconnu comme une section à part entière !

Nous demandons à la fédération de l’Aisne de justifier ce refus à des militants communistes organisés du droit d’être reconnu comme une vraie section et d’être représentés comme tels au congrès départemental. Signataires déclarés du texte alternatif n°3 (reconstruire le PCF…), arrivé majoritaire dans l’Aisne, nous n’y voyons qu’une justification politique : des obscurs calculs de place de délégation dans le but de préserver la ligne national dans le département, ligne qui mène le dernier outil politique ouvrier dans le mur !

Le bureau de section du Val d’Origny

Fédération PCF 02 : une seule voie possible : la démocratie. Ensemble, faisons-la respecter ! Lettre ouverte des sections de Saint-Quentin, Gauchy et Origny.

Congrès départemental du PCF 02 : une seule voie possible : la démocratie. Ensemble, faisons-la respecter ! Lettre ouverte des sections de Saint-Quentin, Gauchy et Origny, à la suite de leurs congrès de section du 20 octobre et de la réunion de la Commission des candidatures départementale du 22 octobre 2018. Cette lettre est adressée au Conseil national du PCF et, personnellement, à Pierre Laurent, secrétaire national et Fabien Roussel, chef de file du texte « Manifeste » au congrès.

Saint-Quentin, le 23 octobre 2018,

Camarades,

Nous sollicitons votre attention et votre intervention avant le congrès départemental du PCF de l’Aisne qui doit se tenir le 3 novembre 2018. Notre fédération du PCF connaît en effet une situation de blocage par entrave à la souveraineté des communistes. C’est particulièrement grave dans la situation nationale préoccupante du Parti qui a justifié la convocation d’un congrès extraordinaire et dans la situation de crise que traverse le PCF 02.

Dans l’Aisne, comme partout, il y a des sections du PCF qui vivent, d’autres qui vivotent, quelques-unes qui se développent. Et, depuis plusieurs années, il y a une direction départementale dont les membres se déchirent, rivée vers les combinaisons électorales, incapable de toute impulsion politique. Cette situation délétère a amené le secrétaire départemental et la trésorière à démissionner depuis le congrès de 2016. Des « faisant office » tiennent lieu de direction.

Nos sections, celles de Saint-Quentin, de Gauchy et du Val d’Origny, font partie de celles qui se développent.

Nos organisations se renforcent régulièrement, sur des années, sur la base de nos activités militantes. La section d’Origny s’est mobilisée sur la défense de la filière sucre menacée par les nouvelles directives européennes. Les camarades et la section de Gauchy agissent contre les fermetures d’école, le mal-logement dans le fil de la campagne des élections départementales de 2015. A Saint-Quentin, la section développe ses interventions dans les entreprises (papeterie, commerce, hôpitaux etc.) et dans les quartiers, notamment contre les expulsions et en lien avec notre élu.

Nos congrès de section ont été l’occasion de faire un bilan sincère de nos activités, d’envisager une meilleure mobilisation de nos adhérents, des nouveaux, dans leur diversité.

Cette année, la section de Saint-Quentin a été particulièrement active en soutien de la lutte des cheminots de la ville et du département. Ces actions pour le service public, comme celles pour l’hôpital public, appellent une coordination départementale et non des pratiques sectaires, bureaucratiques, sinon opportunistes.

Lors du vote des bases communes, les 4, 5 et 6 octobre 2018, les adhérents de nos sections ont choisi largement le texte « Reconstruire le Parti de classe – Priorité au rassemblement dans les luttes », comme d’autres camarades, plus isolés, dans les autres sections. Au total, ce texte a obtenu 59% des votes dans la fédération, dans un cadre où les effectifs cotisants, par section, dans un tableau, ont, pour une fois, été communiqués à tous, dans la transparence (texte 1 : 21%, texte 2 : 4%, texte 3 : 15%).

Cette situation semble littéralement paniquer les « faisant office » de direction. Plus éloignés que jamais des objectifs d’unité des communistes dans l’action et l’organisation, ils tentent lamentablement de contourner la souveraineté des communistes et les statuts du Parti.

Pour le congrès départemental du 3 novembre, les « faisant office » prétendent fixer le cadre des désignation des délégués des sections sur la base d’une liste de 2017, avec 2 délégués d’office par section et un par tranche de 20 cotisants (1 et 1 pour 10 en 2016). Ce tripatouillage permet d’attribuer 6 délégués pour 7 cotisants à la section unifiée de Léhaucourt-Bohain (2 sections comptées distinctes en 2017), et de réduire la représentation de nos trois sections, dont deux niées dans leur existence, à 11 délégués pour 256 (sur 459 cotisants reconnus dans la fédération).

Dans la situation de notre parti et de notre fédération, il n’est pas question pour nous de laisser faire. Il n’est pas question non plus d’accepter les diktats et l’arrogance du « faisant office » de secrétaire, Aurélien Gall. Nous rappelons gentiment à ce jeune transfuge d’EELV (fait qu’il n’a pas communiqué lui-même) que nous nous félicitons de sa conversion apparente au PCF mais que ce n’est pas une raison pour manquer de respect à des adhérents fidèles depuis 10, 20 ou 50 ans au parti révolutionnaire, pour lequel ils ont consenti bien des sacrifices qu’il n’imagine peut-être pas. Et nous restons troublés par le soutien qu’il a apporté aux législatives de juin 2017, dans la 4ème circonscription, au candidat EELV contre la candidate PCF, désignée par les communistes.

Dans notre détermination, nous appelons la direction nationale, et notamment les candidats au poste de secrétaire national du Parti, à prendre leurs responsabilités dans ce moment tendu, nationalement, de la vie du PCF. Ils doivent aider à faire prévaloir la souveraineté des communistes, les statuts et la démocratie dans le PCF 02. Nous appelons aussi les camarades des autres fédérations à intervenir et à rendre publiques, le cas échéant, les entraves éventuelles à la démocratie dans leur fédération. En ce qui nous concerne, mandatés par nos congrès de section, nous prendrons toutes les dispositions dans ce sens.

La revendication de Nelson Mandela, c’était « un homme, une voix ». Sa traduction pour les « faisant office » de direction du PCF 02, c’est « 1 communiste d’une section égale 24 communistes de Saint-Quentin, Gauchy ou Origny ». Plus c’est gros, plus ça passe ? Ou bien, comme disait Brecht : « Si le peuple vote contre la direction, il faut dissoudre le peuple ».

Les communistes de Saint-Quentin, Gauchy et Origny-Sainte-Benoîte ne sont pas solubles dans la bureaucratie et l’opportunisme, pas davantage dans le réformisme ! Mais ils sont décidés à ce que la fédération de l’Aisne du PCF, dans le rassemblement de tous les communistes, se reconstruise à partir du terrain de la lutte des classes.

Bien fraternellement,

Corinne Bécourt, Gauthier Ducos, Michèle Gabert,

Secrétaires de section, réélus démocratiquement, du PCF Saint-Quentin, du PCF du Val d’Origny, du PCF Gauchy.

Conférence de presse « Reconstruisons le parti de classe » – 38e congrès du PCF – 17 octobre 2018 – Vidéo

Conférence de presse des porteurs du texte alternatif « Reconstruisons le parti de classe, priorité au rassemblement dans les luttes » dans le cadre du 38e congrès du PCF. Paris, le 17 octobre 2018.